Belle fille(s) (11)
Datte: 19/08/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... saisir un téton. Quand je le presse entre mes doigts, elle ne tarde pas à jouir à son tour. Elle sort de moi, me retourne et nos bouches se retrouvent pour affirmer notre passion mutuelle. Quel pied nous venons de prendre! Chaque jour est un délice, j’apprends de nouvelles choses et ressens un épanouissement croissant. Pour rejoindre le rez-de-chaussée, cette fois, nous allumons la lumière. En montant l’escalier, je me délecte de regarder les ondulations de son si beau postérieur, sanglé par ces lanières de cuir. Arrivés en haut, elle me demande en agitant son membre : - Ça t’a plu ? — Énormément ! Jamais je n’aurais pensé faire ça un jour ! Ce disant, j’ai saisi son engin d’une main et de l’autre lui caresse la joue pour un tendre remerciement. Elle me demande : — C’est une vraie bite qu’il te faudrait ! Tu n’aimerais pas ? — Je … Je ne sais pas … — Tu as remarqué comme tu couinais ! Je suis sûre que ça te plairait… - Euh … Non, ça je ne crois pas ! Avec toi, c’est différent ! Ça ne me gêne pas que tu me fasses l’amour de cette façon. En plus, c’est très agréable - Ouais, ouais, tu dis ça, mais je crois que tu te caches des choses à toi-même ! Il faudrait que tu te libères ! On en reparlera plus tard ! — Tu sais ma chérie, ça va trop vite pour moi ! Tu me fais explorer le sexe à cent à l’heure - Je le sais mon amour, mais le temps est compté avant que maman ne revienne, alors il faut ...
... foncer ! Il y a mille choses à faire ensemble. Notre amour est si fort qu’il faut faire exploser nos désirs ! - Je t’adore Aurélie, je suis prêt à tout pour toi ! - Alors suce moi encore un peu Dit elle, avec son petit sourire coquin. Je m’agenouille … Par la suite, nous prenons une douche commune, seulement ponctuée de caresses, lors de notre savonnage mutuel. Elle troque sa robe pour une jupette noire et un haut rose très court qui découvre largement son ventre musclé. Elle est sublime ! Je m’applique à être élégant pour elle, en me revêtant d’un pantalon léger et d’une chemisette blanche. Nous bavardons sur le canapé et, tel un amoureux transis, je ne cesse de lui déposer des bises. Tantôt sur la main, l’épaule, la joue … Elle me fixe de son regard ensorceleur, pour me déclarer : — Je t’aime, Jean ! C’est la première fois qu’elle m’appelle par mon prénom et ça me bouleverse, je lui bredouille : — Je t’aime Aurélie. À jamais ! Je ne peux plus me passer de toi ! Ni de tout ce que nous pouvons faire ensemble … — Coquin ! Si tu veux, on se grignote quelque chose vite fait et ensuite, j’aurais envie de …. Elle décrit son désir et là, je suis choqué, interloqué, médusé de sa proposition ! — Oh non ! Pas ça quand même ! — Si, aller ! J’en ai envie ! Juste une fois ! Pour me faire plaisir … Résigné je lui dis : — Bon, d’accord, si tu veux, on y va ! Nous parlerons des détails sur la route