Le diner d'affaire
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Le diner d’affaire Depuis plusieurs jours, nous savons que ce diner est inévitable. Désolé mais je ne peux pas échapper à cette corvée, il s’agit d’un futur client pour lequel j’ai besoin de faire bonne impression. Maintenant on doit y aller. Une fois la situation posée, un diner dans un bon restaurant (ne t’inquiètes pas c’est moi qui ai choisi), il y a pire comme contrainte. Finalement, tu sembles d’humeur joyeuse en te préparant…..depuis deux heures. Comme d’habitude tu seras ravissante, même si je préfère quand tu t’apprêtes pour nos petites soirées intimes. Enfin prête, tenue mode chic, robe et escarpins, avec un je ne sais quoi de fashion. Je te fais remarquer comme à chaque fois, que je ne connaissais pas cette tenue, évidemment tu me réponds comme d’habitude que « c’est vieux » et que tu l’as depuis longtemps. En retard, nous avons rendez-vous dans le 7ième arrondissement, dans un restaurant fraichement étoilé, cuisine franco-japonaise comme tu l’aimes. Nous devions être six convives, le client, son directeur général et leurs épouses et nous deux. Je vais devoir faire « mon numéro » et tu me le reprocheras au retour comme d’habitude. Dans la voiture, je crois remarquer que ta tenue semble moins sage qu’il n’y paraît. Tes jambes sont-elles gainées des bas de soie que je t’ai offert dernièrement ? Je tente de vérifier en glissant ma main sur ta cuisse, mais visiblement ce n’est pas le moment. Je vais devoir payer le fait de t’avoir imposé ce diner. Nous arrivons devant ...
... le restaurant, le voiturier semble troublé en ouvrant la portière de ton coté. Il a un regard un peu interloqué mais il esquisse un sourire et toi tu sembles ne te rendre compte de rien. Cette réaction ne fait que m’intriguer un peu plus sur le caractère faussement sage de ta tenue. Ils sont déjà installés à table, tout le monde se lève à notre arrivée, salutations d’usage et présentations de rigueur. Nous passons à table pour déguster avant diner un champagne Krug millésimé, je suis surpris pour l’excellent choix de Pierre, le client. Mais il semble que ce soit Véronique, son épouse, qui fasse office de sommelier, elle est une œnologue amatrice éclairée, visiblement avec un gout très sûr. Ce qui l’a rendue tout de suite sympathique à nos yeux d’épicuriens. Jolie, très souriante, la quarantaine passée depuis un moment. Tu deviens rapidement complice avec elle, peut être que votre statut d’épouses embarquées dans un diner « forcé » vous rapproche surtout après une ou deux coupes. L’autre représentant de la gente féminine, Julie, est plutôt à l’opposé de vous deux, plus introvertie, limite timide, soumise à son mari Marc qui semble confirmer être le con que j’avais cru déceler lors de notre première rencontre. Reste Pierre, le maitre de cérémonie, enfin c’est comme cela qu’il s’improvise ce soir. Il veut visiblement apparaitre comme un homme de gout, charmant et sympathique, mais je crois voir une fêlure dans son comportement qui me laisse penser qui les circonstances ne sont ...