De l'ennui à l'infidélité
Datte: 19/08/2017,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
inconnu,
forêt,
Oral
pénétratio,
confession,
extraconj,
... ajoutait à mon excitation ; j’étais trempée comme jamais. Je lui suçai la bite en lui triturant les couilles avec ma main, tant et si bien qu’il finit par jouir dans ma bouche. Je reçus le nectar dans ma gorge avec bonheur. Comme une voiture arrivait, nous décidâmes de nous arrêter là pour aujourd’hui. Mais dès le lendemain, nous nous sommes revus en forêt à nouveau, mais cette fois nous nous sommes enfoncés dans les fourrés, loin des chemins. Cette fois-ci, il me caressa les fesses et les cuisses en m’embrassant et finit par me mettre un doigt dans la chatte. Je n’en pouvais plus. Ensuite, il me déshabilla et je me retrouvai nue, offerte à son regard, un peu perdue mais chaude et excitée d’être dans cette situation : nue en forêt, et en plein jour ! Je m’accroupis et entrepris de le sucer, lentement, avec gourmandise; je sentais sa queue grossir dans ma bouche, et ça me faisait mouiller de plus belle. Après un certain temps, il me releva et me retourna contre un arbre. Il me caressa à nouveau la chatte et sentit combien j’étais mouillée… Tout en me parlant, il m’empala d’un coup. Je reçus sa queue avec bonheur et je tendis le cul le plus possible pour mieux la sentir. Il me laboura à grands coups avant de jouir comme une bête. J’étais pantelante de plaisir, le cul offert et dégoulinant. Je mis un certain temps à retrouver mes esprits ; j’étais heureuse, mais en même temps un sentiment de malaise commençait à m’envahir. Il fallait que je rentre chez moi, et l’image de Mario, ...
... qui n’était au courant de rien, commença à danser dans ma tête. Le poids de la culpabilité commençait peut-être à peser sur mes épaules ? Quoiqu’il en soit, le plaisir était trop fort et nous décidâmes, Olivier et moi, de nous revoir à nouveau le lendemain, mais cette fois chez un ami à lui qui était en déplacement et dont il gardait l’appartement. En effet, la météo prévoyait de la pluie pour le mercredi ; heureusement qu’il y avait un plan B… Une fois rendus à l’appartement, nous avons discuté en prenant un café puis il s’approcha de moi et m’embrassa. Il se mit à me peloter et s’attarda sur mes fesses qu’il trouvait énormément à son goût. Il me tourna vers la table et me fit me pencher en avant sur celle-ci. Je me retrouvai le visage collé à la table, les fesses tendues et offertes. Je me sentais encore une fois super excitée d’être dans cette position, le cul ouvert, la chatte trempée… Olivier entreprit de me doigter un peu et de me caresser l’anus par la même occasion. Soudain, il se mit à me fesser ; je sursautai d’abord, puis me laissai faire. Il me dit que j’étais une vilaine fille et que je méritais une punition. Quand j’eus le cul bien rouge après quelques claques retentissantes, il s’introduisit brutalement en moi et commença à me baiser bien fort comme une belle salope. La table grinçait sous les coups, et mon cul s’ouvrait au maximum pour mieux le sentir ; c’était un pur moment de jouissance. Quand il finit par jouir à son tour, ce fut un régal pour moi de sentir ...