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ce coquin de propriétaire ! (15)
Datte: 27/03/2019, Catégories: Erotique,
... j’ai entendu sonner, pourquoi n’es-tu pas passé par devant ? Il me fit entrer sans attendre ma réponse. - Tu veux boire quelque chose ? Il se dirigea vers son bar et en sorti son vieux rhum. Sans attendre ma réponse, il prit deux verres pour les remplir. - Installe-toi ! Me dit-il après m’avoir donné mon verre et montrer le canapé. Il vint ensuite s’asseoir à côté de moi. - Loïc n’est pas encore rentré… Ai-je commencé avec l’intention de lui dire que j’étais certaine de le trouver ici, mais il ne me laissa pas terminé ma phrase. - Et bien profitons de n’être que tous les deux… Dit-il en frappant son verre contre le mien. - Cul sec ! Il vida son verre d’une traite. Il me regarda ensuite droit dans les yeux en attendant que je fasse comme lui. J’allais reprendre l’explication de ma venue, mais il posa un doigt sur mes lèvres. - Je t’ai dit cul-sec ! Le ton était autoritaire et son regard sévère. J’ai soupiré, et vidé mon verre en une seule gorgée. Je me suis bien-entendu étranglé et cela l’a fait rire. Il tapota mon dos, puis s’approcha de moi et m’embrassa. Son baiser était chaud et comment aurais-je pu résister. Nous nous sommes lovés l’un contre l’autre, il m’a caressé et je commençais à fondre sous ses caresses. Il s’écarta un peu de moi et me regarda. xomxwwgq - J’ai faim… faim de toi. Il se leva, prit ma ...
... main et m’emmena jusqu’à sa chambre. Le lit était déjà défait, on aurait dit qu’il venait de passe un ouragan… En voyant ce désordre je n’ai pu m’empêcher de pencher que les ébats de Marc et Loïc était à l’origine de ce capharnaüm… Tout étant sens dessus-dessous dans ce lit. Mais voilà, Marc m’attira vers lui, m’embrassa à nouveau et me fit basculer sur le matelas. Notre étreinte était passionnée, Marc se mit nu, il bandait comme un Turc… Il me déshabilla et sans autres préliminaires me pénétra. Il se libéra rapidement dans mon intimité, puis me demanda de le sucer. - … Pour nettoyer mon engin ! J’étais redevenue sa chose, son objet… Complétement sous son emprise, j’obéissais sans même réfléchir. - Eh bien, je vois qu’il y en a qui s’amuse pendant que d’autres travaillent ! Une fausse colère surjouée émana derrière moi. J’étais à ce moment-là à quatre pattes à m’occuper de l’entrejambe de Marc et en me retournant, j’ai aperçu Loïc qui se tenait debout sur le pas de porte. Il feignait la surprise et l’indignation, il ignorait bien entendu que j’avais des arguments à lui opposer ; je l’avais vu ce matin même dans la même position avec cet amant qui était alors le sien. Je me mis debout, prête à l’affronter et à lui dire ses quatre vérités. - Tu peux parler… Marc ne me laissa pas finir ma phrase. - Bon ça suffit !