L'équipe VI
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... passée... mais il ne m'en laissa pas le temps. Sans hésitation David retira son t-shirt et poussa ses boxers à ses pieds J'étais encore en train de refermer mes syllabi quand il se déplaça juste à côté de moi assis et lui debout. Il se tourna de telle manière que son entrejambe soit juste sur mon côté et sans la moindre gêne pressa son sexe encore flaccide contre ma joue. surpris je poussai un petit cri, et me tournai inconsciemment vers lui, regardant vers le haut. A ma protestation tout ce que ce géant blond fit fut de répondre par une autre provocation, me défiant de lui dire que je n'aimais pas son sexe... Merde, bien sur que j'aimais son sexe et comme pour en rajouter avec deux doigts à la base de sa verge il tira en arrière son prépuce et décalotta son gland qu'il frotta sur mes lèvres... Il ne m'en fallut pas plus et j'étais là à téter avec passion et voracité sa verge, sa queue qui se gorgeait de sang et gonflait entre mes les lèvres, sous mes coups de langue. le blond roulait lentement de ses hanches, faisant glisser ce mandrin de plaisir dans ma cavité buccale, en poussant le bulbe turgescent dans ma gorge. De longues minutes passèrent ainsi avant qu'il ne fasse un pas en arrière et ne m'invite à me relever, Nos bras enlacèrent le corps de l'autre et nos lèvres s'unirent en un furieux baiser. En quelques instants, je senti mon T-shirt se faire soulever, mon caleçon tomber à mes pieds et je fus guidé dans sa chambre, poussé à quatre pattes sur le lit et là je gémis ...
... de pur bonheur alors qu'il s'attaquait à ma rondelle, poussa sa langue au travers de mes sphincters, envahissant mon anus. Quelques instants de bonheur, de plaisir, mon Adonis blond me préparait à le recevoir, je le regardais faire et lorsqu'il s'éloigna je ne pus que murmurer comme il était beau. Il fallait dire qu'il se jouait de moi, se tenant juste au bord du lit, se masturbant ouvertement devant moi; le corps cambré, une main glissant sur son sexe turgescent, pompant ouvertement ce phallus imposant, tirant et repoussant son prépuce sur son gros gland d'une rouge carmin, presque burgonde, enduisant toute sa longueur de gel lubrifiant. David se jouait de moi, il savait à quel point je le désirais, tout en jouant de son sexe sous mes yeux ses paroles devinrent salaces. Il me fit dire à quel point je voulais sa verge, je voulais sa queue en moi, à quel point je désirais être le fourreau de l'épée du chevalier de notre équipe. Oui, je le voulais du plus profond de moi, je voulais sa queue, son sexe en moi, sa bite me défonçant, labourant mes entrailles pour y planter sa semence. Je voulais qu'il me prenne comme un étalon saillirait sa jument. Et c'est ce qu'il fit, il me pris ainsi en levrette, succombant à ses instincts les plus primaires, guidé par cette simple envie de prendre son plaisirs, de satisfaire ses besoins sexuels et en cela m'offrant à lui je satisfaisais les miens. Et c'est ainsi, comme des animaux sauvages que nous atteignirent nos pics, moi poussant sur mes ...