Hélène
Datte: 19/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
voisins,
profélève,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
humour,
totalsexe,
extraconj,
bourge,
Où, au cours du dîner chez les C., la maîtresse de maison se prend d’une affection furieuse à l’endroit de Jean-Baptiste et fait de lui son professeur très particulier, avant que Nicole ne montre une fois de plus l’intérêt qu’elle accorde aux relations de voisinage. Le lendemain soir et ceux qui suivirent, je revenais frapper à la porte de Nicole mais celle-ci ne me répondait pas. Depuis la rue, je vis qu’il n’y avait pas de lumière et en déduisis avec une grande déception qu’elle n’était pas chez elle. Puis vint le soir du second dîner chez les C. J’étais en effervescence. Je m’étais branlé deux fois dans l’après-midi pour calmer mes ardeurs. La seule évocation du prénom de Camille me faisait douloureusement bander, je me demandais comment j’allais pouvoir tenir pendant le repas. J’arrivai un peu en avance, et ce fut Madame C. qui m’ouvrit la porte. Elle portait une robe bleu marine sans manches, très années cinquante, qui mettait en valeur sa taille mais dissimulait ses seins, et juste un collier de perles. Sobre, mais efficace, me dis-je. — Bonjour Jean-Baptiste, entre vite je t’attendais. Et d’autorité, elle me fit la bise en me pressant le bras. — Bonjour, Madame.— Tu peux m’appeler Hélène, tu sais.— Très bien, Hélène. Tenez, c’est pour vous, dis-je en brandissant un petit bouquet de fleurs que j’étais allé chercher.— Elles sont ravissantes, merci beaucoup. Après quelques autres banalités d’usage, elle me fit pénétrer dans le salon où Thibaut finissait de préparer les ...
... flûtes à champagne. Puis elle m’entraîna dans son bureau pour me montrer des gravures qu’elle avait retrouvées. De très belles pièces, qui avaient sans doute une grande valeur. — Et tes travaux, m’en as-tu amené quelques-uns ?— J’ai oublié, veuillez m’en excuser.— Quel dommage, dit-elle, l’air sincèrement déçue.— Si vous voulez je peux monter rapidement les chercher dans ma chambre.— Bonne idée ! Tiens, je vais t’accompagner, je dois vérifier quelque chose. Je me demandai ce qu’elle avait à vérifier, mais me contentai d’opiner. Nous prîmes l’étroit ascenseur et notre proximité physique me causa un début d’érection. Hélène était à craquer dans ce petit ensemble. Au niveau du palier, nous aperçûmes Nicole qui rentrait chez elle. Hélène la salua et, dès qu’elle eut tourné la tête, Nicole me regarda fixement et prit ses gros seins dans ses mains en se passant la langue sur les lèvres avant de m’envoyer un clin d’œil, ce qui eut pour effet de faire grossir un peu plus la bosse qui me déformait le pantalon. Je déglutissais péniblement quand Hélène me demanda : — Tout va bien, Jean-Baptiste ?— Euh, oui, j’ai juste de petits vertiges de temps en temps, rien de grave, rassurez-vous— Ah, la jeunesse, tu demandes trop à ton corps, sans doute. L’ascenseur arrivait au dernier étage et la secousse habituelle qu’il produisit surprit Hélène qui trébucha bizarrement et appuya son joli petit postérieur sur ma queue tendue. Je rougis instantanément et elle dit : — Ah cette vieille machine, il ...