1. C’était chaud ! (fiction partielle écrite en octobre 2012).


    Datte: 27/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... toutes les deux : elles faisaient le service tout en bavardant et plaisantant avec nous. Si Anna me plaisait beaucoup comme fille, elle ne semblait pas non plus indifférente vis-à-vis de moi. J’aime assez ce genre de fille à la beauté naturelle, sans artifices comme on en voit trop dans notre milieu avec cette mode de piercings et tatouages outranciers. Bref, nous avons flirté le reste du temps mais nous ne nous sommes pas éternisés. La nuit avait été longue. Ma surprise a été totale au moment où je reprenais ma voiture sur le parking. Anna s’est approchée en disant : • Je suis à pied, peux tu me déposer ? • Bien sur, dis moi où et je te conduis ! • Au 7ème ciel mon coquin ! J’ai envie de baiser, viens chez moi ! Moins de 10 minutes plus tard, nous entrions tous les deux dans l’ascenseur de son immeuble : • Direction le 7ème étage ! Elle habitait effectivement le 7ème étage. Dès que nous sommes entrés dans la cabine, Anna s’est littéralement jetée à mon cou, pressant son buste contre le mien, glissant une cuisse entre les miennes comme une perdue et sa langue cherchant la mienne ! Le bref trajet vertical a suffi à me faire oublier ma fatigue. Quand nous sommes arrivés dans son studio, toujours étroitement enlacés, je bandais comme un cerf dans mon boxer. En un rien de temps Anna est allée chercher ma bite dans mon pantalon qui était tombé sur mes chevilles. A genoux devant moi, elle me pompait le dard avec ardeur, comme si son destin en dépendait. Elle mouillait ...
    ... abondamment la hampe qui coulissait entre ses lèvres jusqu’à ce que mon pubis vienne presque au contact de sa bouche. Quand j’étais ainsi, bien au fond, elle aspirait avec ses joues qu’elle gonflait avant de m’aspirer. Après quelques minutes de ce traitement oh combien agréable, elle s’est levée, a fait passer son T-shirt par-dessus sa tête et s’est débarrassée de son pantalon. Elle ne portait plus qu’un petit soutif et un string noirs assortis. Qu’elle était belle ainsi à moitié nue, offerte à mes regards envieux : • Mets toi nu aussi et viens me rejoindre ! Et elle s’est dirigée vers une porte qui était celle de la salle de bains. J’ai entendu aussitôt le bruit de la douche ! Quelle coquine ! Elle voulait prendre une douche à deux ! Je n’étais pas contre, cela allait me délasser un peu après cette nuit presque blanche qui, je le savais désormais, allait se prolonger agréablement. Quand je l’ai rejointe sous la douche, elle avait relevé sa queue de cheval avec une pince et l’eau ruisselait sur ses épaules. Elle m’a tendu une éponge et un flacon de produit moussant. Je savais ce qu’elle voulait. Quand tout son corps a été enduit de cette mousse odorante, elle m’a dit : • A toi maintenant ! Et là, elle m’a enduit tout le corps de la même mousse parfumée, agaçant au passage la pointe de mes seins ou masturbant doucement ma bite toujours bandée. Puis Anna est passée au corps à corps, se frottant contre moi de dos ou de face, emprisonnant ma queue entre ses fesses ou la massant dans sa ...