1. Pervers Noël (1)


    Datte: 27/03/2019, Catégories: Hétéro

    ... cet homme riche, un peu rustre mais physiquement à l’aise. A peine arrivé dans la chambre, M Klaus la mit à genou en disant « Viens gouter le sucre d’orge du père noël ». Évidemment, elle ne s’en priva pas et dégusta sa tige comme si c’était une délicieuse friandise. Ensuite, il la releva, la porta sur le lit façon jeune mariée, positionna son entrejambe sur le bord du lit et, une fois à genou, il commença à lui rendre la pareille tout en lui massant ces deux globes bien ronds. La fille était en trance tellement c’était bon. Elle ne mouillait pas au point d’une femme fontaine bien sûr mais c’était bien parti. La sentant prête, M Klaus se releva, toujours au garde à vous, commença à entrer son engin dans l’orifice tant convoité. Après les premiers coups de rein, la fille ne pouvait se contenir et laissa partir les premiers « Oh Oui encore ». Ne voulant pas que ça s’arrête, elle lui bloqua le bassin avec ses jambes, en les croisant au niveau du postérieur. Père noël, en appuis sur ses bras voyait le visage de celle qu’il était en train de limer avec un large sourire béat sur le visage. La voyant satisfaite, ça le motivait pour lui en mettre encore plus. Il desserra les jambes de la demoiselle pour se retirer, la retourner sur le ventre et s’introduire dans son anus en lui disant « par devant, par derrière : comme ça pas de jaloux ». Ce n’est qu’après un court début douloureux qu’elle recommença à vociférer des « je t’en prie t’arrêtes pas, démonte moi comme un jeu de ...
    ... construction » (en tout cas quelque chose d’approchant). Cette fille subissait avec le sourire le pilonnage annale du Père Noël avec un plaisir intense. Ce n’est que quand il finit par jouir dans son Rectum et qu’il partit prendre sa douche qu’elle s’aperçu que cette sensation de bien-être que toutes ressentait en sa présence disparaissait. Cette excitation quelle avait ressentie alors qu’il était présent dans la pièce semblait s’évanouir en fonction de l’éloignement et du temps passé. Sous la douche, alors qu’il chantait du Pavarotti, M Klaus avait pleinement conscience de cette sensation que toutes ses partenaires féminines ressentaient en sa présence. Au cours des siècles, il en était parvenu à penser que c’était une évolution naturelle de la sensation de fascination que les enfants ont pour lui. Bien évidemment, elle devait surement évoluer à la puberté. Il n’en avait aucune certitude et en avait pris conscience il y a quelques décennies. Depuis un soir durant une tournée, peu de temps après la seconde guerre mondiale, une veuve était tombée sous son charme alors qu’elle était seule depuis que son mari soit mort en 1940, ce fut la première fois qu’il réalisa pleinement cet état de fait. Depuis, il essai d’en profiter au maximum. Il a de la chance car il n’a pas grand-chose à faire, juste rester proche d’une femme durant un temps plus ou moins long, différent selon les femmes. Quand il sorti de la douche, sa partenaire dormait. En lui caressant ses courbes de ses mains, il pensait « ...
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