Marguerite et le livreur
Datte: 28/03/2019,
Catégories:
fh,
frousses,
soubrette,
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
humour,
... les explorer gaillardement. Outrée de ce manque d’égards, tu te retournes et veux lancer à ton assaillant une gifle qui se perd sur une oreille pendant qu’il t’empoigne à bras le corps et cherche à nouveau ta bouche que tu lui refuse en détournant la tête. Il éclate de rire, te saisit aux hanches et te soulève une fois de plus comme une plume en te soufflant à l’oreille : — Viens valser, ma belle. Il tourne sur lui-même deux ou trois fois sans te lâcher en chantonnant un air où il est question d’orfèvres et de Saint-Eloi pendant que tu bats désespérément des jambes sans arriver à reprendre pied. Tu dois pour ne pas tomber t’accrocher à ses épaules et écraser ton buste sur le sien. Encore un tour et il finit par t’asseoir sur le bord du tonneau sans te lâcher. Tu tentes de te reculer et de refermer les cuisses, mais il te tient bien et pousse son giron dans leur fourche ouverte, tout en fourrageant sous ta blouse que ces péripéties ont remontée. Cette fois c’en était trop ! Tu commences un « Arrêtez, ou j’appelle Madame ! » qu’il coupe par un sifflement admiratif en découvrant les dentelles de ton jupon. — Eh, la belle, t’as des dessous de duchesse. Je suis sûr que tu les piques à ta patronne. Appelle-la, pour voir, qu’on rigole un coup. Revenant à ton rôle de soubrette, tu souris et souffles un « Surtout pas. » complice. Le gaillard en profite pour vouloir en voir plus. Il retrousse blouse et jupon au-delà des genoux jusqu’au bas du porte-jarretelles. — Ça aussi c’est du ...
... luxe, tu ne me diras pas que c’est toi qui te le paies. Mais au fond, mignonne comme t’es, tu dois obtenir tout ce que tu veux de ton patron. Tu as beau tenter de bloquer ses poignets, ses deux mains dépassent les bas pour aller caresser la partie nue de tes cuisses juste au-dessous de la culotte. — Allez, tu peux me le dire, je suis sûr qu’il te la met, ton bourgeois. L’allusion te fait d’abord rougir horriblement même si tu ne la comprends qu’à moitié ; mais à y penser après tout ce rustre a raison : le maître de maison t’a bien mise dans son lit, même si c’est en qualité d’épouse. Cette confusion t’amuse et tu as un petit rire d’acquiescement auquel répond celui de ton assaillant. Vous échangez même un vrai regard de connivence auquel il met fin en se redressant et en laissant tomber : — Ces messieurs de la haute, toujours à courir après les bonnes même quand elles n’en ont pas envie. Heureusement qu’il y a des costauds comme moi pour les consoler. Tu vas voir. Pour rabattre un peu son caquet, tu lui répliques avec ton meilleur accent berrichon : — Vaniteux ! Qu’est-ce qui vous dit que Monsieur est moins costaud que vous ?— Eh ben, t’as qu’à comparer, ma belle, dit-il tranquillement en déboutonnant sa braguette et en sortant un engin d’une belle taille. Tu en as le souffle coupé. En deux ans de mariage, tu n’as fait qu’entrapercevoir la nudité de Gaston. Il te possède toujours dans la pénombre de votre chambre en gardant sa chemise et en troussant sous les draps la tienne ...