Christine II : Retour de flammes (4)
Datte: 19/08/2017,
Catégories:
Hétéro
La fête d’anniversaire de Christine a lieu le samedi 22 janvier 2000 dans une petite salle du centre ville. Je m’y rends avec Juliette, 18 ans, que je fréquente depuis un mois et demi. La soirée est sympa, la musique aussi et le buffet est très bon. Juliette et moi passons une excellente soirée. Christine est cependant d’une froideur incroyable et j’en arrive à me demander pourquoi elle m’a invité. Peu avant minuit, Juliette et moi faisons un tour à l’écart de la salle, dans un des couloirs adjacants. En actionnant une poignée, j’ouvre un petit local de matériel. Nous y entrons. Juliette me suce longuement. Je me demande si elle va aller au bout, mais elle se redresse, prend appui contre la porte et, aguicheuse, soulève sa robe au dessus de ses fesses. Je viens derrière elle, écarte son string et glisse en elle. C’est bon, c’est fort, c’est très excitant. Je jouis vite en elle. Juliette dit : — Il y a plein de matériel, mais il manque quand même un bon fauteuil. Nous rions. C’est la première fois que Juliette et moi le faisons ailleurs que chez elle ou chez moi. En sortant du local, Juliette se rend aux toilettes. Peu après, alors que Juliette discute au buffet avec une connaissance, Christine, qui semble éméchée, m’entraine hors de la salle et me fait rentrer… dans le petit local. Juste avant, je sais qu’elle s’était retrouvée aux toilettes avec Juliette. Christine est furax : — Ta Juliette qui rattachait une jarretelle dans les toilettes. A peine 18 ans, elle est précoce. ...
... — Oh, elle n’a pas eu besoin de moi pour en mettre, crois-moi. Elle est toujours en robe ou en jupe et elle déteste les collants. Alors quand il y a une occasion spéciale… — Ouais, c’est la femme parfaite, quoi ! Elle est toute jeune, toute fraiche, elle a des gros seins, une bouche à pipe, un joli cul, elle met de la lingerie fine, impossible de rivaliser. — Arrête, Christine, ça n’a rien à voir avec elle. Je l’ai connue après. Christine fulmine, je me prépare à parer une éventuelle gifle. Son attitude m’agace tellement que j’ai presque envie de lui raconter ce que je faisais ici quelques minutes auparavant, juste pour l’énerver un peu plus. Elle me tourne alors le dos. Bras croisés, elle semble faire la gueule. Je lui dis de se calmer et je pose la main sur son épaule. Elle se retourne alors d’un coup et je recule vivement, pensant qu’elle allait me frapper. Mais non, elle prend sa robe par le bas et l’enlève d’un coup par la tête. — Ce soir, j’ai aussi mis un porte-jarretelles, je l’ai acheté en pensant à toi. Je voulais finir la soirée avec toi, baiser toute la nuit et pomper ta grosse bite jusqu’au matin ! Et même tout le dimanche si ça nous faisait envie !! Elle a parlé fort, elle est rouge de colère et souffle rapidement. Ses yeux bleus sont teintés de rouge. Je vais parler, elle m’interrompt : — Regarde ! Elle descend vivement son petit string qui tombe sur ses bottes : son sexe est complètement glabre. Les larmes montent d’un coup à ses yeux. Elle a juste le temps de ...