1. Histoire vraie - Lundi 14 décembre 2015


    Datte: 28/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... change de position en me disant qu’il a mal au dos et me demandant de m’asseoir. J’obéis et il se met à quatre pattes sur la banquette, sa bouche avalant ma queue. De ma main gauche je commence à caresser son anus. Je repense à tout à l’heure quand je l’imaginais entrouvrir l’accès à sa sublime chatte poilue. C’est exactement le mouvement qu’il vient d’avoir, une invitation, mon doigt effleure l’entrée puis s’invite, glisse, pénètre son corps qui n’est plus qu’un sexe traversé par le désir, doublement visité par ma queue et mon index explorateur et caressant. Il est généreux, excité à me sucer jusqu’à m’amener à ce point d’équilibre où il faut choisir de succomber ou renoncer. Sa bouche est un monde de plaisirs, agile, furieuse, joueuse, profonde, je ne trouverai pas mieux aujourd’hui. Je succombe, je jouis, il jouit. Je suis épuisé. Je pense partir mais avant je vais me reposer dans le sauna puis le hammam. J’adore ces moments de pur plaisir du corps quand, repu, je ne ressens plus que la chaleur sur ma peau et que mon cerveau se concentre sur la goutte de transpiration qui descend dans mon dos ou se perd entre les poils de mon torse. Je pars vers le vestiaire et là, je m’arrête. Je te croise, toi, que je ne connais pas et dont je pourrais tomber amoureux à la seconde. Je ne sais pas ce qui se passe. Nous sommes dans un sauna naturiste, mais tu es plus nu que les autres. Ta nudité est provocante. Je la ressens comme telle et elle provoque mon désir, brutal, sauvage, ...
    ... immédiat. Je bande au premier regard que je pose sur toi. Nos yeux se croisent, tu ne fuis pas, dans tes yeux je lis un mélange étrange de défi, de douceur et de quelque chose que je ne parviendrai pas à définir. Tu vas et viens dans les couloirs mais tu évites les endroits sombres et les pièces aveugles où les corps se touchent sans se voir. Tu restes dans la lumière exprès. Tu es conscient de ton pouvoir d’attraction et tu en joues. Tu dois avoir dans les 30 ans, tu n’es pas très grand, légèrement poilu, musclé juste ce qu’il faut, belle carrure travaillée à la gym. Ton sexe non circoncis balance doucement au rythme de tes allers en venues, dans cette moyenne parfaite qui fait que tout en toi crée une harmonie. Tu es beau, désirable, viril, bandant. Tu t’arrêtes ostensiblement dans un couloir éclairé et tu sais que je te regarde. Ma main est sur ma queue, je me caresse en te regardant. Un homme passe, caresse ta queue, tu ne le repousses pas, il s’agenouille, te suce avidement, ton regard ne quitte pas le mien, tu me défies. Ton suceur n’insiste pas, tu ne lui donnes rien. Maintenant tu bandes, ta queue est dressée vers le ciel, ça ne te gêne pas, au contraire, c’est ce que tu voulais. Tu vas vers le hammam. Un regard, une invitation. Je te suis. Je m’agenouille devant toi. Je ne suis plus moi même. Trop impatient. Fasciné. Ta queue durcit dans ma bouche. Je joue avec ma langue et mes lèvres pour faire glisser ton prépuce. Je suis en admiration. Qu’est-ce qui fait que je puisse ...