Entre deux
Datte: 28/03/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
couplus,
vacances,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
... juste à côté. Pas de contact mais une présence. J’hésite. Je suis un peu pompette de cet alcool fort. Et pourquoi pas ? Cela ne m’engage à rien ! Juste regarder ! Un peu comme une voyeuse de vidéos, sauf que cela se passe juste en face ! J’ai toujours trouvé le peu de vidéos que j’ai regardées, totalement artificielles, avec ces seins gonflés, ces bites que je n’ai jamais vues chez mes amants, mon ex ou mon compagnon. Et que dire de cette résistance, de ces positions extravagantes ? Tout est fait pour exciter les hommes ! Encore que, je me demande bien où peut être leur plaisir de voir des "hardeurs" réaliser des exploits dont ils ne peuvent que rêver. L’âme masculine est insondable. C’est décidé, je reste. De toute façon, personne ne s’intéresse à moi. Les vedettes sont juste en face. Luis n’a d’yeux que pour le couple. Déjà la robe de Zoé se chiffonne sous les mains de l’homme qui cherche à passer au contact de la peau. Il ne lui faut pas longtemps pour que la belle se retrouve nue. Ce ne sont pas ses dessous, oubliés dans la valise, qui la protègent. Mais de toute façon, le danseur devait déjà imaginer que Zoé était nue sous sa robe. Il doit s’éloigner un instant des seins que sa bouche dévore déjà, pour favoriser le passage de son polo. Le torse se presse contre la poitrine. Les peaux se découvrent. Texture, granulosité apportée par la découverte, transpiration d’impatience, tout contribue à l’alchimie des corps. Mais déjà Zoé s’intéresse à plus bas. Je crois entendre ...
... le crissement du zip et la boucle de ceinture qui se relâche. Elle tire sur le pantalon, puis le slip. Ils sont maintenant tous les deux nus, face à face, agenouillés sur le petit canapé de jardin. Chacun explore l’autre sans autres caresses que celles de leurs mains. Les visages se font face, guettant sans doute la réaction à ce que les mains découvrent. Celles de l’homme y trouvent : un sein, petit mais ferme avec un téton qui en jaillit. Une hanche de femme, femme encore enfant, mais tout de même. Un ventre plat, promesse de secrets. Une fente délicate qu’un doigt ne peut s’empêcher de vérifier, humide. Celles de Zoé ne sont pas en reste. Elles apprécient d’abord la rondeur de l’épaule associée à des pectoraux puissants. Le ventre est à l’avenant, plat mais musclé. Elles tournent sur les hanches étroites pour aller flatter les fesses. L’endroit semble agréable car elles s’y perdent un instant. Et puis de part et d’autre elles reviennent. Elles convergent vers ce qui n’est déjà plus un sexe mou, mais une barre à l’horizontale. La symétrie se rompt. Une main va s’emparer de la tige, la jauge, la caresse. L’autre devient un réceptacle des bourses, nid improvisé et vivant pour les deux œufs qui se cachent encore un peu. L’homme ne peut s’empêcher de gémir sous les caresses. Peut-être son doigt devient-il plus envahissant pour que Zoé l’accompagne dans un soupir. Ils sont beaux, face à face, à genoux et reliés uniquement par leurs caresses. Et puis Zoé se penche. Elle s’incline ...