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Entre deux
Datte: 28/03/2019, Catégories: fh, fplusag, couplus, vacances, Oral préservati, pénétratio, confession,
... différent. La bouche aspire et la langue me lèche. Des doigts s’insinuent dans ma fente qui est restée si sage pendant toutes ces semaines. Mais c’est une bouche, des lèvres, une langue et des doigts de femme. Jamais je n’ai connu ce contact si intime avec une autre. Mes seuls amants, autant que je m’en souvienne, même au temps de mon adolescence, ont toujours été des hommes. Ma chatte n’a jamais connu ces caresses si féminines. C’est bon. C’est différent. Plus délicat. Plus tactile. Zoé est la douceur incarnée alors que son copain la bourre maintenant sans retenue. On sent qu’il a accumulé des envies pendant le spectacle. Il a bien du mal à retenir sa copine par les hanches alors qu’il s’active. C’est non seulement bon, mais en plus c’est beau. Voir ce couple en levrette devant moi alors que la femme me lèche est une scène que je n’aurais jamais imaginée. Quelle étrange perversité qui amplifie mon plaisir. Me voici une femme lubrique. Une amante libertine. Mais moi, mon ami n’est pas là. Il travaille encore. Il ne viendra me rejoindre que dans deux jours. Mais il n’en saura rien. Après tout, j’ai juste voulu rendre service et me voici entraînée, contre mon gré, dans une entreprise qui me dépasse. Entraînée ? Menteuse ! Il suffisait de partir… Il suffisait de dire "Non"… Ahhh ! Le plaisir monte… Je sens parfaitement mon jus se répandre. Zoé doit le sentir couler de ce con vicieux qui est devenu le mien. Même mes seins sentent les caresses… Des mains s’en sont emparées… Ce ...
... sont les mains de l’homme, qui a quitté sa banquette et qui est maintenant derrière la mienne. En tournant mon visage, je le découvre. Un peu penché pour atteindre ma poitrine qu’il caresse avec dextérité. C’est bon. C’est bon. Son sexe pend si près que je pourrais m’en saisir. Il suffirait que je m’avance un peu, que j’entrouvre mes lèvres et… Il a pensé la même chose. Je sens son odeur. Une odeur de foutre. Le foutre que Zoé a laissé couler sur lui. Une odeur bien reconnaissable… Une odeur qui se transforme en goût lorsque le gland entre sans prévenir. Je suis une salope. Une salope qui se cache derrière les circonstances. Mais une salope qui n’a pas peur d’aspirer le bout de chair afin qu’il entre et que je lèche avec gourmandise. Un goût ! Une odeur ! C’est différent de mon compagnon ! Plus fort, plus "fermenté" par le traitement de Zoé. Mais putain que c’est bon après des semaines d’abstinence ! À propos d’abstinence, je jure devant dieu et tous ses saints que lorsque mon compagnon va arriver je vais le faire grimper au rideau. Ce sera ma façon de me faire pardonner même s’il ne se doute de rien. La queue grossit dans ma bouche. Zoé me suce et moi je pompe la queue qui l’a faite reluire tout à l’heure. — Viens ! C’est tout ce que j’ai trouvé à dire alors que je m’arrache aux caresses de la femme pour m’allonger. L’homme ne met pas longtemps pour enfiler une capote, faire le tour du canapé et venir se placer entre des cuisses si ouvertes qu’une femme qui accouche en serait ...