La robe blanche
Datte: 29/03/2019,
Catégories:
dancing,
cadeau,
vacances,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
init,
couple,
... culotte que je voyais par transparence m’était soudain "parue de trop". Un vieux fantasme serait mis à exécution : nue sous la robe, au vu de tous ! Provocante ? Probablement ! Naturelle en tout cas. Tous les regards se tourneront vers moi, certains admiratifs, d’autres dubitatifs. Seul un regard excitera ma curiosité, mon désir, notre plaisir à venir, peu importe les autres : il n’y avait que ça, que lui qui m’intéressait. La fête débuta. Des groupes se formèrent, comme c’est habituel, autour de boissons apéritives puis on passa sur la piste de danse. Un premier cavalier vint me demander d’honorer une première danse. Il était plutôt agréable à regarder et dansait avec élégance… La danse se prolongea (je ne me souviens pas avoir dansé un aussi long rock). J’en étais déjà fiévreuse, frémissante… Je cherchai du regard Christian et le trouvai immédiatement. Je vis dans ses yeux une interrogation… admirative. À cet instant, lui me contemplant, se demandant probablement ce qui se cachait sous ma robe, mon sexe commença à mouiller. La chaleur et cette danse effrénée aidant, ma robe collait de plus en plus à ma peau en sueur, dévoilant encore mieux ma nudité sous la robe devenue entièrement transparente. À la fin de la danse, mon partenaire me retint : — Avouez… Je ne répondis pas. — Avouez que vous êtes nue, totalement nue !— Pardon ? Qu’en est-il de cette robe, cher Monsieur ?— Oui, mais sous cette jolie robe ?— Ça vous déplaît ?— Sachez, Madame, que je n’ai jamais pris autant de ...
... plaisir à danser. Je souhaitais, seulement, avoir une confirmation.— Une confirmation ?— Que vous étiez nue sous votre robe…— Oui, je suis nue, et je ne pense pas être la seule. J’espérais ainsi détourner son attention et pouvoir, de ce fait, me rapprocher de Christian. Mais d’autres cavaliers vinrent m’alpaguer. Tous firent référence à une éventuelle nudité. Mais cette fois, je les laissai à leur doute. Et je passais ainsi de l’un à l’autre ; j’y prenais beaucoup de plaisir, surtout que je savais que celui à qui était destiné ce tourbillon n’avait d’yeux que pour moi et savourait la scène. C’est surtout ça qui me plaisait et m’excitait… L’un d’eux, beaucoup plus âgé et ne manquant pas d’humour, me demanda s’il "pouvait voir" ou, mieux encore, s’il "pouvait toucher" ! — Voir ? Oui, pourquoi pas ? Toucher, non. Je réserve cela à mon mari. Non sans timidité mais délicatement et discrètement, je relevai le pan fendu de la robe jusqu’au nombril un court instant. Mon cavalier fut-il le seul à me contempler ainsi ? Je ne sais pas. Mais dès lors beaucoup me demandèrent la même chose. Le "téléphone arabe", sans doute ; quelque chose du genre "Demande-lui de soulever sa robe, elle le fera !" Et je le fis effectivement. À chaque fois, dans un coin discret où ces mâles en érection n’hésitaient pas à me suivre. Jamais je n’aurais imaginé que cette robe blanche et ma quasi-nudité, au départ destinées à combler mon époux, susciteraient tant d’attention mais je dus me rendre à l’évidence. ...