1. Embrouilles à Marrakech


    Datte: 29/03/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, vacances, hotel, voyage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, amourpass, couple+f,

    ... Vous aussi les filles vous êtes différentes, vous habitez avec un ami gay et Stefano est persuadé que vous êtes lesbiennes ! Elles éclatèrent de rire… Simone me regarda dans les yeux et me déclara de façon très directe. — Écoute, c’est très compliqué tout ça, mais ne t’inquiète pas, je crois que ce soir tu coucheras avec Isabelle. Tu en as envie ? Je me trompe ? Isa, elle, n’attend que ça ! Pas vrai ? Je me tournai vers Isabelle, elle me sourit en haussant les épaules sans rien dire tout en continuant à me regarder. J’étais estomaqué et je ne savais que faire. — Je pourrais parler avec Isabelle, en aparté ?— Mais on n’a rien à cacher à Simone ! me dit-elle. Je les regardai d’un air surpris, elles souriaient en se moquant un peu de moi. Je me tournai vers Isabelle, mis ma main sur son cou et lui dit : — Depuis que tu es montée sur ce bus, je n’ai d’yeux que pour toi, tu me plais beaucoup !— Mais pourquoi tu ne t’es pas déclaré avant ? On a perdu énormément de temps.— Je croyais que tu sortais avec Pierre, je ne suis pas un briseur de ménage.— Toi aussi, tu me plais, mais j’imagine que, vous les GO, vous êtes un peu blasés, vous devez avoir un succès fou avec toutes ces « femelles » en vacances.— Je ne suis pas un moniteur de tennis ou d’équitation, je suis un accompagnateur et avec une fille comme toi, Isabelle…— Bon, il est temps que tu t’occupes d’elle, me dit Simone, on rentre au club. Sur le chemin du retour, je commençai à me poser des questions sur les relations qui ...
    ... liaient ces deux filles, peut-être me trompai-je et qu’en étant de grandes amies, elles ne se cachaient rien ? En attendant je sentais mon désir monter à l’idée que dans quelque temps, je pourrai déshabiller et caresser cette « superbe plante ». Après avoir salué Simone sur le pas de la porte de sa chambre, nous nous dirigeâmes vers la mienne et déjà mes mains commencèrent à se balader sur son corps et ses jambes magnifiques. Deux ou trois fois avant d’arriver, nous échangeâmes de longs baisers mouillés et nos étreintes se firent de plus en plus enflammées. Arrivés dans ma chambre, elle fureta un peu en observant les lieux. — Incroyable, je n’imaginais pas ton « antre » aussi bien rangé et décoré ! J’aime l’ordre et j’avais récupéré la chambre d’une ancienne accompagnatrice qui m’avait laissé ses tentures, coussins et bibelots qu’elle avait achetés dans les souks ; la pièce était vraiment très agréable et chaleureuse. J’allumai deux petites lampes d’ambiance, m’assis sur le lit et fixai Isabelle qui était restée debout. Elle portait un petit top un peu transparent très serré qui lui arrivait au-dessus du nombril, un soutien-gorge sans bretelles qui n’avait pas grand-chose à soutenir, une jupe très courte et des sandales à talons qui allongeaient encore ses jambes interminables. Je me levai, la pris dans mes bras et la renversai sur le lit, nos bouches ne se quittaient plus et ma main commença à remonter sur sa cuisse jusqu’au bord de sa culotte très échancrée, elle glissa vers ...
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