Un service
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Récit de Sam. Lorsque la sonnette a retenti, j’étais entre deux eaux. La nuit avait été longue et le champagne que l’on m’avait offert n’avait pas favorisé un réveil dynamique. J’étais installé dans mon salon, encore en short de la nuit, juste douché et dégustant à petites gorgées un café triple dose. Il n’était pourtant pas loin de 17 h. — Oui ? Je ne suis pas sûr que le ton de ma voix donne envie de s’incruster. — C’est moi.— Vous, mais… Un problème ? Je… et…— Sam, il fait froid. Vous m’ouvrez ?— Bien sûr, et j’ouvre ma porte… Quelques secondes plus tard, elle est là. Elle entre. Bien coiffée. Fraîche comme une rose, son manteau fermé jusqu’au dernier bouton. — Entrez, je vous en prie. Excusez ma tenue, mais je ne vous attendais pas.— Je comprends. Je peux m’asseoir ? Je suis un vrai goujat. Il faut que ce soit elle qui me rappelle à mes devoirs. — Un café ? Un thé ? Un alcool ?— Non merci.— Qu’est-ce qu’il se passe ?— Eh bien voilà. J’ai pensé qu’après cette nuit il fallait que je vous demande…— Mais je sais. J’ai promis. Vous avez vu, j’ai tenu toutes mes promesses. Reconnaissez que j’ai su assurer mon rôle et rester en retrait.— Je sais et je vous en suis reconnaissante, mais c’était si inhabituel, si improbable que je voulais vous demander.— De garder le secret. Oui ! De ne jamais rien dire à personne, même sous la menace. Oui !— Ce n’est pas tout à fait cela. Sam, je voudrais vous poser une question ?— Une question ?— Oui, répondez franchement.— Bien sûr, vous me ...
... connaissez maintenant !— Est-ce que je vous plais ?— Véronique, vous trichez.— Non, je veux savoir. Hier vous avez été si exemplaire que…— J’avais promis. Bien évidemment que vous me plaisez !— Même après les horreurs de cette nuit ?— Mais moi, je n’ai pas vu les horreurs dont vous parlez. Moi, j’ai vu une amie, une femme, se libérer et se laisser aller.— Mais jamais vous n’avez approché.— J’avais promis.— Et si je vous déliais de cette promesse. Si vous me regardiez différemment.— Véronique. Vous jouez avec le feu. Vous êtes chez moi et…— Et si je fais ceci… Elle se lève. Elle défait son chignon. Ses cheveux blonds tombent et habillent sa nuque et ses épaules. Et puis elle défait son manteau. Bouton après bouton elle se révèle. Sa peau apparaît. À chaque instant je m’attends à trouver un tissu, un chemisier, une jupe. Mais non, rien. Ou plus exactement elle ne porte qu’un soutien-gorge, un slip, un porte-jarretelles, des bas. Elle est plus que nue sous son habit. Nue, si belle, si sexy si désirable. Elle fait les quelques pas qui nous séparent. Elle est à quelques centimètres. — Véronique !— Sam ! Nos corps se découvrent. Nos lèvres se trouvent. Merci, mon Dieu, j’en avais tant envie… oooo0000oooo Pour comprendre ce moment, il faut revenir des mois en arrière. Comme on le voit dans un plan de tournage de film : On m’a fait savoir assez tard dans l’après-midi que la DRH de la boîte où je travaille avait un problème et voulait que je passe. Je la connais un peu, car nous avons fait ...