1. Moi, Fifille mes débuts de lopette - 1ère Partie (3)


    Datte: 30/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vers 9h00 tu viendras faire le ménage et la propreté, je compte sur toi. Je suis seule en ce moment donc ne t’inquiéte pas de trouver du monde chez moi. Tu auras ton trousseau de clefs. Je suis là ou je ne suis pas là, peu importe - tu entres, tu te déshabilles complètement dans le hall et tu me rejoints. Tu passes ensuite l’aspirateur – tu as vu là où il est. Tu continues par le ménage à fond, et tu ranges la vaisselle, si elles en ont besoin, tu fais aussi les vitres. Quand tu veux me parler tu me demandes la permission et quand tu t’adresses à moi tu commences par « Madame ». Ne me touche pas, jamais ! c’est ok ? » — « oui Madame ! » « tu commences dès samedi prochain, si je suis satisfaite de toi je te récompenserai. Tu sais je ne suis pas une dominatrice naturellement comme tu as du t’en rendre compte – c’est même l’inverse – mais je le fais car j’ai besoin de toi, tu me rends service, et parce que Patrick me l’a ordonné et à toi aussi. Je ne te cache pas que cette situation m’arrange. Tu resteras « Fifille » puisque cela semble te convenir, je n’aurais jamais imaginé t’appeler un jour comme cela mais compte tenu de ce que je t’ai vu faire avec Patrick, et que tu es une lopette, ce surnom te va à ravir. Bon Fifille, c’est pas tout, mais j’ai affaire au Cabinet et régler quelques autres affaires persos ! Tu peux rentrer chez toi je compte sur toi samedi sans faute ; allez file ! » Elle accompagne ces dernières paroles d’une claque sur mes fesses, bien sentie, pour bien me ...
    ... faire voir que désormais c’est d’elle dont je dépends. Je me rhabille vite, et c’est la queue entre les jambes, un peu vidée, que je rentre dans mon appartement, après ces 2 journées bien remplies où ma vie à pris un nouveau tournant. Autant dire que j’ai hâte d’être une semaine plus tard et combien le temps semble long quand on est dans cet état de soumission et de dépendance. C’est samedi et le devoir m’appelle, avec beaucoup d’envie mêlée à pas mal d’appréhension j’avoue. Je me gare sur le petit parking résidentiel de Fabienne. Je sonne. C’est elle qui répond, qui m’ouvre ; « Monte et fais comme on a dit ! ». Arrivé sur le palier, je pousse la porte, la clef est engagée dans la serrure, je ferme derrière moi. Je me déshabille, je plie mes vêtements que je range sur une chaise posée juste à l’entrée, à côté de ma sacoche et mes papiers et je pars retrouver Fabienne – elle est dans le salon, assise dans le fauteuil à m’attendre. De l’index elle m’indique ou m’assoir : Dans un coussin posé à ses pieds. « A genoux !» m’ordonne t’elle. Ce sont les premiers ordres que je reçois directement de Fabienne. « J’ai beaucoup réfléchi à nous cette semaine, je te remercie d’avoir accepté ce que t‘a demandé de faire pour moi Patrick ; tu n’étais pas obligé d’accepter, d’ailleurs de mon point de vu tu as toujours le choix. Réfléchis encore bien et dis-moi si tu souhaites réellement travailler pour moi en étant cette Fifille dont t’a affublé Patrick ? « Oui Madame, je le désire, Vraiment ! ...