1. TABLE DE SAPIN 6


    Datte: 30/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Elle tendait la main et se saisit d’une feuille de papier hygiénique sur le dévidoir. Elle essuya soigneusement sa belle petite chatte. Mais au lieu de jeter le papier, elle approcha celui-ci prés de son nez et inhalait bruyamment. - J'aime mon odeur de pisse. Pas toi ? demanda-t-elle ingénument. J’avais la bouche tellement sèche que je devais saliver et humecter mes lèvres avant de lui parler. - Je ne peux pas de le dire. Je ne le connais pas. Un large sourire illuminait son visage et elle me tendait le papier hygiénique et me demandait sûre d'elle : - Viens alors, je t’assure que tu ne le regretteras pas… Je la pris par le poignet et la tirais vers moi. - Lâche-moi ça ! J’ai mieux à te proposer. Alors que le papier souillé s’aplatit sur la faïence, je la pris dans mes bras, la ramenant dans la pièce initiale. - Mais est un sauvage ! Murmura-t-elle. Je la déposais sur le plateau du bureau. Allongée sur le dos, les deux jambes à terre, elle était encore une fois magnifique. Je me penchais au-dessus d’elle. Déboutonnaient un après l’autre les boutons de la chemise. J’écartais les pans. Comme je m’y attendais, dessous, Jennifer ne portait rien. Que les seins magnifiques, lourds fermes, avec un gros téton brun dardant vers moi. Je me penchais et happais l’un mamelons entre mes dents. Aussitôt, la jeune fille se cambra et exhala un feulement animal. - Oui, mords-moi ! N’aies pas peur, j’adore avoir mal, espèce de sauvage. En faisant rouler le petit bourgeon de chair ...
    ... frémissante entre mes dents, je caressais les cuisses, qui s'ouvraient pour que mes doigts aient accès à sa toison, d’où perlaient quelques gouttes d’urine. Tout ça sous les yeux de la jeune fille, crépitant de désir, un demi-sourire lubrique sur ses lèvres humides. elle resta inerte, appuyée sur les coudes, jouissant visiblement de l’affolante vision qu’elle offrait d’elle-même. - Tu t’excites, hein, mon salaud ! Grinça-t-elle d’une voix qui devenait plus vulgaire à mesure que le désir montait en elle. Tu as envie de te servir de ma chatte pour te soulager, hein ! Eh bien vas-y, qu’est-ce que tu attends ? C’est fait pour ça, la chatte, non . Je délaissais le sein, pour me pencher au-dessus de sa chatte qui sentait fort, une odeur de sueur, de pisse et de mouille. Et rien que ça aurait suffisait à me donner envie d'y plonger ma bouche. - Qu’est-ce que tu fais ? Fit-elle. - Je sens ta chatte. Tu ne vois pas . Je posais mes lèvres, et commençais par bécoter l’intérieur de ses cuisses. - Oui, oui, c’est bon ! continu ! mange-moi la chatte ! vas-y ! c’est bon ! hummm oui ! Doucement je tendais ma langue et touchais délicatement son clito, la faisant sursauter légèrement. Je relevais la tête juste pour lui dire : - T’aime ça hein petite cochonne, tu en veux encore, hein. Et replongeais de nouveau, embrassant sa moule et glissais le bout de ma langue entre ses lèvres. Elle gémissait, se tordait, et ouvrait le plus qu’elle pouvait du compas de ses cuisses. Désormais tout offerte, je prenais ...
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