1. Un chaud voyage n°2


    Datte: 20/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... renversant sur la couchette, je lui titillais le clito avec ma langue, puis pénétrais l’entrée de son vagin ,goutant avec délice les premiers prémices de son plaisir ;très vite, Joël dut profiter de nos ébats car dans la cabine, elle ne se retenait pas, ses plaintes et ses petits cris devaient être très perceptibles, y compris du trampoline ; je la soupçonne même d’en avoir un peu rajouté au début, car par la suite pas de faux fuyant ; je plongeais dans sa vulve, les cuisses écartées pour pouvoir la lécher profondément, une onde commençait à envahir son corps et sans préavis je remplaçais ma langue par mon sexe tendu ; la réaction fut immédiate et elle se mit à ronronner de plaisir, je la baisais en lui parlant à haute voix de notre voisin qui devait écouter, car il n’avait pas bouger de sa cabine qui maintenant était entrouverte ; je la pistonnais avec délice et la retournant ,je m’attaquais à son anneau, qui sous la pression lâcha aussitôt ; avec un han de satisfaction, j’attaquais sa cavité et elle s’empressa de me dire, « oh oui, continue, encule moi, vas-y fort , va bien au fond »la séance fut courte car nos pensées pour le voisin et notre baise fougueuse se termina par une jouissance commune et je déversais mon jus dans ses entrailles. Je retournais alors vers le trampoline et en passant, par la porte entre-ouverte, je vis enfin notre jeunot, rouge comme une pivoine ; il avait bien entendu notre baise ; dehors, la chaleur me surprend, puis je retrouve Max, toujours nu, ...
    ... le sexe encore en érection, il se caresse doucement et je dois dire que le tableau est bandant ; nini nous rejoignant ,je lui fit remarquer qu’elle se devait de calmer notre capitaine après l’avoir laissé hier soir ; sans dire un mot, elle s’assit sur son ventre et me regardant bien dans les yeux se planta sur son sexe ;max n’eut pas grand-chose à faire car elle se vautrait avec vigueur sur lui et les mouvements du bateau accéléraient la pénétration ; ni tenant plus, je me plantais derrière elle et je la sodomisais ; prise en sandwich, elle se laissait faire, embrassant à pleine bouche notre ami et c’est de concert que nous lui donnèrent sa récompense en de puissants giclées de sperme ; repue, elle s’allongea sur sa serviette, et nos deux langues s’appliquèrent à nettoyer les traces du sperme qui coulait de ses cavités ; nos langues se touchaient le long des lèvres et nous prenant la tête elle nous demanda de nous embrasser ; je regardais l’homme en face de moi et timidement ,ne sachant sa réaction , je posais mes lèvres sur sa bouche ;il me surpris et il se mis à me rouler une pelle, pénétrant mes lèvres avec sa langue, je cédais à la pression et passant au-dessus d’elle , je l’embrassais avec fougue ; l’arrivée de Joël, arrêta nos ébats , mais je savais qu’il nous avait vu. Les jours qui suivirent, le mauvais temps nous occupât tous les trois(Nini ne prenait pas les quarts), pas question de batifoler , le cœur n’y était pas ; enfin à la tombée de la sixième nuit, le ciel se ...