Première sortie - Histoires de Sexe

Première sortie

Je me réveille le premier, nous sommes enlacés ou, plutôt, emboîtés l’un dans l’autre. Je me lève, je l’embrasse, Vanessa ne se réveille pas, je remonte la couette sur son corps nu ; je sors en silence afin d’aller préparer un petit-déjeuner. Dans la cuisine qui est, elle aussi, très grande, l’horloge indique midi et demi. Je pose sur un grand plateau du pain, que j’ai trouvé tant bien que mal et que j’ai fait griller, des confitures, du beurre, bref tout ce qui est nécessaire pour un copieux petit-déjeuner au lit. Je prends le tout sur les bras et je reprends le chemin de la chambre. Je pousse la porte. Vanessa a enfilé un peignoir de soie légère mais elle n’a pas mis la ceinture, il aurait suffi qu’elle se penche pour que les pans s’écartent et que l’on voie ses seins et sa chatte. Le peignoir est très court, il lui arrive à la naissance des fesses. Je pose le plateau sur la table tout à côté du lit et j’incite Vanessa à me rejoindre. Quand elle s’assoit, ma main se pose sur sa cuisse et remonte très haut. Le tissu de son peignoir glisse et elle se retrouve une cuisse et aussi la «touffe» pubienne, à l’air. Je passe mes doigts entre ses lèvres allant jusqu’à lui tripoter le clitoris. Je sens que Vanessa est troublée. — «Nous allons nous amuser un peu. Regarde, je vais me préparer une petite tartine…» lui dis-je en trempant mon doigt dans le pot de confiture. Je la pousse en arrière sur le lit et l’aide à écarter les cuisses ; elle ne résiste même pas. Je passe mon doigt sur ...

... ses grandes lèvres, pour les enduire de confiture. Je glisse le long de sa fente. Sa chatte s’entrouvre sous la douceur du lubrifiant improvisé. Vanessa commence à respirer de plus en plus mal. Soudain, je me penche entre ses cuisses et passe la langue sur son intimité, pour y laper la confiture. Ma langue titille, aspire et suce les grandes lèvres molles. Puis lorsque son minou est de nouveau propre, je me retire et m’empare de mon sexe pour lui infliger le même traitement. Tandis que je prépare son «petit-déjeuner», je ne quitte quasiment pas des yeux la chatte de Vanessa, elle s’entrouvre toute seule et elle mouille son peignoir en soie sous elle. Vanessa, elle, se tripote en me regardant faire. Je m’approche, ma verge dressée, maculée. Vanessa prend mon sexe entre ses lèvres. Elle me pompe très vite, en allant chercher mes couilles de temps en temps, preuve de son excitation. Dans le même temps ou elle me nettoie la queue, Vanessa saisi un préservatif, et une fois ma bite bien propre, elle m’enfile la capote. Elle s’allonge de nouveau sur le lit. Elle ouvre les pans de son peignoir, d’un geste vif. Je m’allonge sur elle, je souffle fort tellement la situation m’excite ; mon sexe raide frotte contre son pubis. Vanessa a des frissons partout et elle guide mon sexe dans sa chatte comme la veille au soir. Elle entre toute seule tellement Vanessa est dilatée. Je vais et je viens en elle. Dans le même temps, je lui tripote les seins, pinçant ses mamelons pour les faire gonfler ...