1. Belle fille(s) (3)


    Datte: 22/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... s’écroule au sol. Paniqué, j’enfile un short pour seul vêtement, chausse mes espadrilles et descends la retrouver dehors. Elle peine à se relever et mon aide est la bienvenue. Elle empeste l’alcool, elle qui ne boit jamais ! J’enrage contre ses fréquentations qui ont contribué à son état et à ce mec qui l’abandonne comme un paquet de linge sale à notre porte. Quel manque de prévenance ! Laetitia est plus grande qu’Aurélie, plus fine aussi, les cheveux courts teintés en rouge. Malgré sa minceur, je peine à la faire marcher jusqu’à la maison en la tenant sous l’épaule. J’ai mis ma main sur son ventre et régulièrement, elle se retrouve sur son sein, tant Laetitia trébuche en avançant. Essoufflé, je la pose sur le canapé. Sa tête dodeline de droite à gauche. Je comprends qu’elle n’est pas en état d’écouter mes remontrances. Je m’applique à essuyer son visage à l’eau fraîche, puis ses jambes salies par sa chute récente. Je rince mon linge, puis renouvelle l’opération. Elle ouvre un œil et surtout ses jambes quand je m’en occupe. Elle baragouine une phrase incompréhensible en me faisant signe d’approcher. Elle répète un borborygme dans lequel je comprends : «… veux aller me coucher… ». Comment faire pour la conduire jusqu’à son lit ? Le plus facile pour la porter est de la coller contre moi et de la tenir sous les fesses, comme quand elle était plus jeune. L’extirper du canapé n’est pas chose facile, mais j’y arrive sans me coincer le dos. Elle m’enlace le cou et pose sa tête sur ...
    ... mon épaule. Le silence ambiant est seulement rompu par le grincement des marches de l’escalier en bois. Je sens qu’elle me mordille l’épaule, puis le cou. Je mets ça sur le compte de son ivresse qui lui fait faire n’importe quoi. J’ouvre sa chambre et dépose Laetitia sur son lit. Sa main coure sur mon torse trempé de sueur et s’arrête sur mon cœur qui bat à toute vitesse suite à l’effort. Elle baisse sa main et prend la mienne pour la poser sur son sein gauche et la maintient en position. Son cœur bat vite également, mais probablement pas pour la même raison … Instinctivement plus que volontairement, mes doigts emprisonnent son galbe durant quelques secondes. Très maladroitement, elle entreprend alors de se déshabiller, sans y parvenir. C’est à moi que revient la tâche. J’allume la lampe de chevet pour mieux voir, puis lui ôte ses ballerines que je pose au sol. Pour lui enlever sa courte jupe, c’est plus difficile. Je suis obligé de la soulever d’une main et de faire glisser l’habit de l’autre. Elle porte une jolie culotte noire, mais toute humide, tachée d’auréoles blanches et j’en attribue l’odeur qui s’en émane à celle d’un sperme récent. A-t-elle été abusée dans son coma éthylique ? Je ne le pense pas, la voiture que j’ai vue s’éloigner semblait être celle de son copain. Même si je n’ai pas encore fait sa connaissance. Je lui enlève son haut et hésite à dégrafer son soutien-gorge. Pourtant, c’est ce qu’elle attend en posant sa tête sur mon épaule. Je libère sa poitrine que ...