Carole au Nirvana - Histoires de Sexe

Carole au Nirvana

... aussitôt. — J’ai fait ce que vous vouliez. Vous me devez donc quelque chose. Étant à l’origine du deal avec Aude, c’est moi qui réponds. — Je t’écoute.— J’ai envie de connaître un peu vos limites. Si Carole est autant excitée qu’elle le dit, ce serait dommage de ne pas la contenter. Je voudrais donc que, Pierre, tu la caresses jusqu’à l’orgasme. Cette demande me rappelle un épisode de notre vie sexuelle. C’était peu de temps après le début de notre rencontre. À l’occasion d’un voyage en train, j’avais masturbé Carole au milieu du wagon, ma main cachée sous un pull, la menant jusqu’à l’orgasme alors que les gens allaient et venaient près de nous. Cela avait été l’un de nos premiers actes sexuels dans un environnement public et reste un de nos très bons souvenirs. La demande d’Aude ne me gêne donc pas trop, toujours excité à l’idée de nouvelles expériences. De son côté, Carole, au centre de la demande d’Aude, semble un peu plus réticente. — Je me demande ce que je viens faire là-dedans. Je ne suis pas intervenue dans votre discussion.— Peut-être ! Mais en tant que juge suprême, tu y as activement participé. Alors, n’essaye pas de te défiler. Moi, je suis allée au bout. C’est maintenant ton tour.— OK. Je vais avec Pierre aux toilettes et nous te racontons tout à notre retour.— Pas question. Tout à l’heure cela ne t’a pas dérangée de me glisser un doigt sous la table. Pierre peut te faire la même chose. Cela durera juste un peu plus longtemps c’est tout. Et puis, tu l’as dit ...

... toi-même tout à l’heure, avec la pénombre on ne voit pas ce qui se passe près des tables. Tout cela commence à me plaire et je me rapproche de Carole, qui se retrouve coincée entre Aude et moi. Fidèle à son habitude, elle reste un peu figée à attendre que cela se passe. Lorsque je glisse la main sur sa cuisse, elle ne peut s’empêcher de resserrer les jambes. Je lui attrape alors le genou : — Cela ne va pas être facile comme cela.— Mettez-vous à ma place. Tous ceux qui passent devant vont voir ta main farfouiller entre mes cuisses. Laissez-moi au moins passer sur la banquette du fond. Au moins ainsi, je serai cachée par la table.— On peut lui accorder cela. N’est-ce pas Aude ? Elle acquiesce tout en se décalant sur sa banquette. Carole se place alors sur la banquette du fond, et se détend en écartant légèrement les cuisses. De l’autre côté, Aude trouvant cela insuffisant et ne voulant visiblement rien épargner à son amie, lui prend la cuisse pour l’écarter davantage. Ma main peut alors remonter vers son sexe que je découvre sans surprise déjà bien excité ; je commence à la caresser d’un doigt en le faisant aller et venir le long de sa fente. Au début, Carole fait comme si cela ne lui faisait rien : — De toute façon, tu n’arriveras à rien. Je n’ai pas envie. Elle commence alors à discuter avec son amie, affichant une désinvolture à toute épreuve et ne prêtant pas attention à ce que je fais. Je sens cependant que son corps est en contradiction avec ce qu’elle veut me faire croire. ...