1. LES REGRETS – MES REGRETS (2/3)


    Datte: 01/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... des talons hauts le corps recouvert d’un imper et quand elle le retire elle est recouverte d’une tenue en cuir et de son sac elle sort un martinet comme mon père en avait un mais qui est toujours resté dans le tiroir. • Va dans la salle de bain et mets-toi nu, attend que je t’appelle. C’est rapidement que j’entends sa voix mais j’ai beau chercher dans la salle à manger, la chambre et celle d’amis. • Je suis là ! Elle est là mais dans la chambre d’Ange couchée dans le lit à jouer à la petite fille suçant son pouce. • J’ai été méchante, puni moi. Elle sort de sous les draps et me présente ses fesses. Sur le bord du lit je vois le martinet, m’en saisissant je commence à lui appliquer quelques coups. • Mais tape puceau flagelle moi, sinon ce sera toi qui vas ramasser. Les coups de lanière qui zèbrent ses fesses sont de plus en plus fort et son postérieur devient rouge. • À toi mon salop, mets toi comme quand je t’ai mis le plug. Je me positionne sans savoir ce que je fais et dans quelle déchéance je suis tombé en acceptant que Jennifer vienne prendre une douche. Le plus grave en regardant les images qui défilent c’est que c’est dans le lit de ma petite fille que j’accepte ma déchéance. J’ai donné de bons coups de lanière à ma maîtresse mais la volée de bois vert que je reçois surtout que j’ai toujours la toupie dans mon anus me fais bander et même éjaculer. Je suis fasciné par ce que je vois car même si j’ai ...
    ... subi ces moments le plaisir que j’en ai tiré a été phénoménal. J’ai souffert il est vrai mais pour mieux finir par prendre mon plaisir surtout le jour où c’est avec un de ses amis qu’elle arrive. Les images montrent mon étonnement car la caméra tourne quand elle arrive et elle tient son sac en bandoulière. Ce soir-là, il me change de plug pour un plus imposant sans que je me rebiffe, il est vrai que ce grand noir doit avoir au moins deux fois ma force et s’il le veut d’une main il peut me clouer sur notre lit car pour ce soir Jennifer a privilégié notre lit conjugal. Je me rappelle en voyant les images le moment de plaisir quand nous l’avons prise en double pénétration et Jennifer ma femme, en plus des images de cette femme enfilée par-devant et par-derrière, a certainement été outré de l’entendre crier des mots orduriers pour que nos verges soient de plus en plus violentes. C’est ce jour-là, hélas je m’en souviens, que nous lui avons envoyé notre sperme sur la figure. Je le vois dégouliner jusqu’aux commissures de ses lèvres et je vois sa langue sortir de sa bouche pour récupérer le maximum de ce que nos verges ont expulsé. Pour clore cette scène lubrique, elle passe son index sur sa joue et suce n’en perdant pas la moindre goutte. Je comprends le « salop » laisser sur la table avant que Jennifer quitte la maison avec ma fille mais mon cerveau a oublié la soirée suivante où j’atteins le fond de l’ignominie… 
«123»