Animosité
Datte: 02/04/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
école,
amour,
vengeance,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
... continue de s’entraîner plusieurs heures par semaine. Arnaud comprend que les deux garçons de l’école, ignoraient, tout comme lui, ce petit détail, sinon ils auraient été beaucoup plus circonspects. Avec leur trente kilos et une tête de plus que Sandrine, ils étaient trop confiants. Ainsi s’expliquent aussi les traces de coups qu’il avait plusieurs fois discernées et qui lui avait fait croire qu’elle était maltraitée. Le père poursuit que, depuis ce jour Sandrine, a une anxiété quasiment animale en présence des hommes, qu’elle essaye d’effacer sa féminité, par exemple, qu’elle ne porte plus de robe ou de jupe hors quelques sorties en famille et encore, il faut insister. Arnaud s’efforce de rassurer son interlocuteur. Il s’était, bien sûr, rendu compte de l’attitude toujours sur la défensive de Sandrine et de son habitude de décourager ceux qui devenaient trop familiers. C’est en travaillant avec elle qu’il s’était rendu compte que c’était une fille remarquable et qu’il ne fallait pas se laisser rebuter par son abord un peu rébarbatif et sa manière de s’habiller. Il ne faut pas la brusquer, mais aujourd’hui, les barrières qu’elle a élevées commencent à tomber. Le père sourit en disant qu’il avait pu s’en rendre compte, en entendant sa fille parler autant d’un garçon. Les deux hommes se séparent. Le père, qui demande de ne pas souffler mot de la conversation, est intérieurement un peu rassuré, se rendant compte qu’Arnaud n’a rien d’un excité, ni d’un dragueur, risquant de ...
... blesser Sandrine et de la renvoyer vers son isolement. Deux jours après l’entretien, Arnaud propose à Sandrine de venir prendre des vêtements pour ses frères et sœurs, sa mère ayant décidé de vider les placards. Il a pensé que cela pourrait l’intéresser, sinon il portera les paquets à des œuvres. Après une première idée de refus, elle accepte de venir les voir. Ils montent au studio du garçon. Il y a quatre sacs à fouiller. En furetant, Sandrine admet que nombre de ces tenues plairaient certainement à ses cadets. Dans le quatrième sac, ce ne sont pas des tenues pour enfant ou adolescent, mais pour femme. Arnaud pense que cela devait appartenir à des cousines. Elle va pour les remettre d’où elle les a sorties, quand Arnaud l’arrête, montrant une robe en disant qu’elle devrait lui aller à ravir. Elle refuse. Il insiste, disant qu’elle devrait au moins l’essayer. Elle finit par capituler. Elle se retire dans la salle de bain pour se changer. Au bout de cinq minutes, elle appelle Arnaud à l’aide pour finir de fermer la robe dans le dos. Il vient à son secours et en profite pour libérer ses cheveux qui descendent sur ses épaules. La robe est crème à taille basse, légèrement plissée en bas, s’arrêtant assez au-dessus des genoux. Le haut est assez ajusté avec des manches flottantes et un décolleté généreux. Il note au passage qu’elle a perçu que ce genre de décolleté était peu compatible avec un soutien-gorge classique et que, pour l’essayage, elle a ôté l’accessoire. Il en est ...