1. Animosité


    Datte: 02/04/2019, Catégories: fh, jeunes, copains, école, amour, vengeance, photofilm, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, init,

    ... Pour commencer, Arnaud, pose ton arc et faisons quelques pas. Sophie, je ne te présente pas Arnaud, tu le connais, par contre je te présente mon filleul. Arnaud je ne te présente pas Sophie, tu la connais, par contre je te présente celle qui vient d’accepter de vivre avec moi. Je crois que je vais devoir vous donner quelques explications. Ne m’interrompez pas. L’eussent-ils voulu, ils ne le pourraient pas. Aucun des deux ne parviendrait à dire un mot, tant ils sont abasourdis. Bernard reprend : — Sophie, tout à l’heure je t’ai dit que quelqu’un m’avait parlé de toi. C’est Arnaud, pour me dire que tu nourrissais à son encontre une animosité qu’il ne comprenait pas. Comme cela durait et le troublait, j’ai décidé de te rencontrer. Je pouvais difficilement t’approcher en te disant : je suis le parrain d’Arnaud, pourquoi l’embêtez-vous ? J’ai donc choisi de passer par la bande. Au cours de nos premières rencontres, surtout lors de la discussion que nous avons eue au salon de thé, je me suis rendu compte que tu n’étais pas la pimbêche ou la jalouse que j’attendais. Je me suis trouvé devant une jeune femme pleine de vie, pas foncièrement méchante, mais perturbée, ne sachant pas où elle va et, du coup, comme pour se donner un but, se choisit un ennemi. Je n’ai nullement organisé, ni même prévu ce qui s’est passé entre nous. Nous en reparlerons ensemble tout à l’heure. Tu vois c’est en définitive grâce à Arnaud que je t’ai rencontrée. Je vous demanderais une chose à tous les deux ...
    ... c’est d’enterrer la hache de guerre.— Pour moi il n’y a aucun problème dit Arnaud, je voudrais savoir pourquoi tu m’en veux ? Sophie se dandine hésitante, visiblement elle réfléchit et essaie peut-être elle-même d’analyser ses réactions : — Euh ! Eh bien… Je pense qu’au départ, je n’avais rien contre toi. Je te plaisais, tu ne me déplaisais pas. Pourtant tu ne m’as jamais proposé de travailler avec toi, c’est toujours avec Sandrine que tu bossais. Un jour j’ai fait un exposé sur un sujet précis, tu as démoli tout mon travail, en l’incluant dans une problématique plus large et en posant des questions pour lesquelles je ne m’étais pas préparée. J’ai décidé de me venger.— Je ne voulais pas te mettre en difficulté. Je voulais que tu expliques ta vision, car pour moi il n’était pas possible de traiter ce sujet sans tenir compte de son environnement.— Ce qui me rendait encore plus furieuse, c’est que je me rendais parfaitement compte que j’avais fait une préparation un peu rapide, mais avec ce prof, ça ne devait pas poser de problèmes. Il ne cherche pas la petite bête et toi avec tes questions tu l’as sorti de sa routine et lui aussi s’y est mis. J’ai donc organisé la soirée où je t’ai invité pour t’humilier comme je m’étais sentie humiliée. Et tu as réussi à t’en sortir en faisant le clown. On aurait dit que c’était prémédité entre nous. Alors j’ai mis les photos sur Internet. Bernard l’interrompt : — Et tu as reçu un appel te disant de les retirer rapidement, car tu risquais de gros ...