1. Animosité


    Datte: 02/04/2019, Catégories: fh, jeunes, copains, école, amour, vengeance, photofilm, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, init,

    ... encore plus d’importance. Quand Arnaud arrive au campus, il retrouve Sandrine. Cette dernière ne lui souffle mot des événements de la fin de matinée. Mais d’autres se chargent de l’instruire. Il est furieux et parle d’aller se plaindre à la direction et même de porter plainte au commissariat. Sandrine à toutes les peines du monde à l’en dissuader. Après cette tempête, le calme revient. Deux jours plus tard les quatre jeunes femmes pressenties se rendent au studio ensemble, bien qu’elles aient des heures de rendez-vous différents. Le photographe précise que les photos prises ce jour sont simplement des essais qui ne seront pas publiés, mais qu’elles seront bien sûr rémunérées. Il propose 100 € pour un peu moins d’une heure de pose. Un document est signé pour officialiser la chose. Un autre contrat sera éventuellement signé si elles sont retenues pour des images destinées à être publiées. Le photographe décide, puisqu’elles sont venues de concert, de procéder par quart d’heure, avec chacune. Il les fait poser d’abord avec les tenues dans lesquelles elles sont venues, puis dans des robes de soirée et enfin en string. L’une d’entre elle, en entendant cela, préfère renoncer. La séance terminée, le photographe dit qu’il va étudier les photos et qu’il les recontactera. Si elles sont retenues des dispositions seront à prendre pour la poursuite de leur collaboration, sinon les clichés pris ce jour seront effacés. Le surlendemain des courriels parviennent aux trois modèles en ...
    ... puissance. Une n’est pas retenue, mais Sophie fait partie des deux sélectionnées, avec une nommée Aurore. Toutes deux sont priées de prendre contact pour venir signer leur contrat et dans la foulée faire leur première séance de pause destinée à être publiée. La séance dure près de cinq heures. Chacune touche 430 € comme modèle débutant. Elles sortent du studio éreintées. Elles ne croyaient pas que ce serait aussi fatiguant. Le photographe est exigeant, mais heureusement ce quadragénaire a un don pour mettre à l’aise ses modèles, détendre l’atmosphère, faire rire, être patient et sentir quand il faut faire une pause. Avec lui les choses ne paraissent jamais insurmontables. Le photographe les invite à la fin de la séance à venir prendre une collation dans un salon de thé voisin. Si Aurore part après une demi-heure, Sophie elle reste près de trois heures à discuter, parlant de tout et de rien, de ses projets ; elle n’a pas vu le temps passer. À la fin du mois leurs photos paraissent dans un magazine. Bien sûr ce n’est pas Vogue ou Cosmopolitan, mais tout de même, elles ne sont pas peu fières de les montrer à leurs condisciples. Le photographe avertit Aurore qu’il n’aura pas autre chose à lui proposer. Par contre, il demande à Sophie, si elle veut bien poursuivre leur collaboration. Il a un projet où elle aurait le bon profil. Elle accepte d’enthousiasme, d’autant que le photographe parle de plusieurs jours de travail dont quelques-uns avec des pauses en sous-vêtements, payé 50% de plus ...
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