1. Etonnante Julie (1)


    Datte: 02/04/2019, Catégories: Hétéro

    Nous sommes en mars 2009. J’effectuais un intérim dans le service contentieux d’une mutuelle belge. À 21 ans, après une période de chômage de 6 mois, j’avais poussé les portes d’une agence d’intérim. Une mission me fut trouvée rapidement. La fonction était assez basique et consistait dans la préparation de dossiers pour le service. Les bureaux de la mutuelle étaient situés dans un immeuble vétuste. Des nouveaux locaux étaient attendus pour l’année suivante, dans un building encore en construction. En attendant, il fallait faire avec des installations vétustes. Certains étages du bâtiment qui en comptait une dizaine étaient déjà déserts, le bail des sociétés n’ayant pas été renouvelé, l’immeuble étant voué à la destruction. Deux semaines après mon arrivée, le responsable du département « indemnités » entra dans notre bureau avec une jeune femme, qu’il présenta comme étant une nouvelle collègue, prénommée Julie. Taille moyenne, longs cheveux bruns, des petits yeux, et un joli visage. Julie dit bonjour à mes collègues et moi-même, et continue la tournée de présentation, guidée par son chef. J’étais un peu déçu que cette collègue ne travaille pas avec moi, mes trois autres collègues étant assez âgées, et bien que sympathiques, les conversations n’étaient pas des plus amusantes. Mi-avril, ma mission dans le service contentieux toucha à sa fin. J’avais apparemment fait du bon boulot, car elle fut prolongée. Cette fois, j’allais officier dans le service « Indemnités ». Ici, ma ...
    ... tâche consistait à préparer des dossiers pour le médecin-conseil. On m’attribua un bureau, Julie avait le sien juste dans mon dos, nous travaillons en quelque sorte dos à dos. Au fil du temps, nous faisons connaissance, nous découvrons des points communs. J’ai aussi découvert un caractère bien trempé. Si parfois je n’étais pas d’accord avec ses idées, je lui trouvais tout de même beaucoup de points positifs. Par la suite, des petits jeux ont commencé, des petites provocations comme des jets de trombones, un déréglage de chaise. Une réelle complicité s’installa au fur et à mesure. Nous commençâmes à développer une réelle complicité. Nous avions des discussions sérieuses sur notre vie privée. Ainsi, j’appris qu’elle avait cinq années de plus que moi, qu’elle était célibataire depuis un petit temps, et qu’elle venait d’acheter un appartement à cinq minutes à pied de notre lieu de travail. Les beaux jours arrivèrent avec la chaleur. Les pulls laissaient place aux T-shirts et autres débardeurs. Ils révélaient la poitrine généreuse de Julie, pour laquelle je commençais à ressentir une attirance. Un midi, alors qu’il ne restait que nous deux dans le bureau, après avoir mangé devant mes écrans, Julie s’étira sur sa chaise. — Aah je rêve d’un petit massage. Je suis fatiguée, j’ai besoin de me détendre. — Veux-tu que je te masse les épaules ? — Ouah quel service ! Oui je veux bien ! Elle ramena ses longs cheveux châtains vers l’avant de son buste, me donnant ainsi le champ libre pour un ...
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