1. Prendre sa respiration


    Datte: 02/04/2019, Catégories: cocus, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession,

    ... féminines qui ont dû polluer le système. Mais je suis profondément honnête, et comme ce commerçant s’est montré très professionnel avec moi, je me dois de me comporter en responsable. — Oui, tout était parfait. Mais, cependant… je dois vous avouer que… J’hésite. — Un souci quelconque ?— Non, rien qui ne vous soit imputable ; c’est-à-dire que je dois vous avouer que votre équipement a été si bien apprécié que nous avons… vous voyez, ce que je veux dire… un homme et une femme… Il rit. — Vous parlez de relations sexuelles ?— Voilà, c’est ce que je voulais vous avouer. Et cette pollution, bien naturelle, mais organique qui a du polluer… Il rit de bon cœur. — Monsieur, je dois saluer votre honnêteté. Beaucoup n’auraient pas fait cet aveu. Mais rassurez-vous : vous n’êtes pas le seul à profiter de ce confort pour faire plaisir à madame. Le mot "plaisir" est prononcé avec délicatesse, pas du tout grivois ou offensant. Il continue : — Le bassin est équipé d’un filtre justement pour les produits « organiques », et nous le changeons à chaque fois ; alors n’ayez pas de regrets. J’espère que cette pensée n’a pas gâché ce moment d’intimité entre vous et votre épouse.— Vous pouvez ajouter un « s » à « moment »… dis-je, soudain rassuré et voulant sans doute me faire mousser auprès de cet homme, mais aussi de sa vendeuse qui suit de loin notre conversation.— Alors tout est parfait. Si vous êtes satisfait, nous le sommes aussi. N’est-ce pas, Léa ? La vendeuse confirme d’un sourire. Nous ...
    ... prenons rendez-vous pour discuter plus longuement et en présence de ma femme de cet achat qui me semble une évidence. Ainsi nous aurons très vite à portée de main de quoi satisfaire nos envies. Ce qui d’ailleurs ne préjuge pas de retourner à cette plage d’ici à ce que tout soit livré. Je vais quitter le magasin quand l’homme me propose : — Je pense à quelque chose. Dimanche, vers les 13 heures, une inauguration va avoir lieu à l’hôtel Riviera. Nous y avons justement installé un ensemble jacuzzi-spa. C’est bien trop grand pour vous, mais votre épouse pourrait y voir certains agencements et choix de couleurs qui pourraient l’aider dans sa décision. C’est à vingt kilomètres, pas plus. À l’entrée, dites que vous venez de la part de Léa et Marc. Je compte sur vous ; nous serions heureux de faire la connaissance de madame. Le temps est revenu au beau, mais le vent est encore trop fort pour pouvoir profiter de notre plage fétiche, aussi nous nous rendons à cette inauguration. Beaucoup de monde. Le buffet est pris d’assaut. J’aperçois au loin le vendeur, Marc, qui me fait un signe de la main en m’invitant à le rejoindre. La vendeuse, Léa, est avec lui. — Regarde, c’est le vendeur, dis-je à Martine en lui montrant le couple. Je commence à avancer pour me frayer un chemin dans la foule, mais ma femme ne suit pas. Je me retourne et la vois pétrifiée, livide. Je crains un malaise, une baisse de tension. Je me précipite. — Chérie, ça ne va pas ? Tu es toute pâle. Elle semble me découvrir. — ...