Que diable suis-je allé faire dans cette galère (8)
Datte: 02/04/2019,
Catégories:
Transexuels
... n’habitaient pas loin de chez nous, dans la même résidence, faire des folies de temps à autre, je n’y voyais aucun inconvénient, mais de là à ce que cela devienne une habitude, cela commençait à m’indisposer. Le lendemain nous sommes passés à l’accueil, régler la note, je n’ai pas pu éviter un roulage de pelle de la part du patron, accompagné d’une main au cul. Cela faisait sourire ma femme et nos deux amis, je vais vous avouer que je commençais à être pressé de quitter le camping. Nous sommes rentrés chacun de notre côté, nos amis prenant un itinéraire différent. Au bout de huit heures de route nous sommes rentrés à la maison et moi j’étais assez désireux de ma femme du coup je lui ai sauté dessus en arrivant. Seul hic, elle m’a demandé que j’enfile une douce robe longue, si je voulais m’occuper d’elle. — Si tu ne veux pas t’habiller comme je te le demande mon chéri, on va se coucher et on dort. Je vais vous avouer que vu mon état d’excitation, j’ai cédé à sa demande, j’ai enfilé la douce et longue robe qu’elle me tendait. Il n’y a pas à dire j’adorais être ainsi vêtu, dès que je l’ai enfilée, mon érection a fortement augmenté. — Tu vois mon chéri ? Le simple fait de l’enfiler te met dans tous tes états. — Désormais, tu ne baiseras qu’une fois habillé en femme. Elle n’avait pas tort, et pendant que je finissais de me vêtir, Marie était déjà en train de me caresser. Avec ma douce culotte en lycra et ma robe en viscose, je me sentais très bien et j’avais une énorme envie de ...
... sauter sur ma femme. Ses attouchements sur mes fesses me faisaient les contracter, mais aussi donner des coups de reins. Elle m’a pris par la main pour m’emmener dans notre chambre. Elle s’est assise sur le lit, a écarté les jambes, m’a fait accroupir entre, puis m’a invité à descendre à la cave. Arrivée à la hauteur de son minou, il n’y a pas de doute, ma femme avait aussi envie de moi, elle transpirait cela sentait bon le désir. J’adorais me délecter de ses sécrétions intimes, cela m’excitait encore plus pendant les préliminaires. Il m’aurait été impossible de me lasser de donner des coups de langue sur sonentrejambe, tant le goût et l’odeur étaient formidables. J’étais maintenant accroché à ses cuisses dénudées, elles étaient sans fin, d’un galbe irréprochable et surtout d’une grande douceur. Elle a relevé sa robe pour la poser par-dessus ma tête et mes épaules, maintenant elle avait saisi ma tête et en plus de l’appuyer sur son vagin et son clito, elle me la faisait monter et descendre. Jamais elle n’avait dirigé les opérations de cette façon jusqu’à maintenant mais cela me plaisait énormément. Cela me chauffait d’ainsi m’offrir à elle, il n’y a pas à dire Marie aussi avait l’air de beaucoup aimer diriger des opérations ; nous étions faits pour nous entendre. Marie a rapidement pris son pied en poussant de grands cris, de mon côté, il ne m’a fallu que quelques secondes pour ensuite la pénétrer. Vous n’imaginez pas le plaisir que je prenais à la pénétrer, sa cyprine était ...