Le Village en folie (10)
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
... désolée, chère, tout ce que tu veux, je le ferai mais pas ça, je regrette. Veux-tu un calmant ? Ça t’aiderait à traverser cette passe. » Sophie se sentait de plus en plus mal à l’aise en voyant la réaction de Catherine qui semblait maintenant en perte de contrôle. Se sentant prise au dépourvu, elle commença même à songer à demander l’intervention d’Alicia qui séjournait au salon. « Tu es méchante, Sophie ! Qu’est-ce qui t’arrive, tout d’un coup ? Ce n’est pas la fin du monde que je te demande ! lança la fille en sanglotant presque. — Désolée, Catherine, répondit l’autre en adoptant le ton le plus ferme possible. Pas question de te faire souffrir ! Un point c’est tout et on va se coucher ! » Sur ces mots, l’expression de Catherine changea radicalement. Elle s’approcha lentement et silencieusement de sa soignante, la fixant directement dans les yeux, s’immobilisa presque nez à nez avec l’autre, puis pouffa de rire au visage de Sophie qui semblait ne plus rien y comprendre. « J’ai pas dit ‘souffrir’, cocotte, j’ai dit ‘sourire’ ! — Oh my God ! pouffa à son tour l’autre. J’avais vraiment mal compris ! I’m so sorry, dear ! — C’est juste drôle, Sophie ! Et tu m’as fait plus que sourire, cette fois ! Ta nature de gamine te rend si mignonne ! Mais attends ! J’ai une petite idée pour ce soir. » Devant des yeux ébahis, Catherine, qui comme Sophie s’était déjà complètement dévêtue, ne gardant que son slip, brandit hors du tiroir de la commode un gode-ceinture. Ayant rapidement ...
... déculotté l’autre à sa grande surprise, elle entreprit immédiatement de le fixer sur sa partenaire de nuit. « Hey, qu’est-ce que tu fais, la fille ? C’est pas un peu trop tôt pour sortir ces choses-là ? — Laisse-moi faire, chérie, c’est pour mon traitement anal, ce soir, annonça-t-elle. » Catherine enduisit généreusement par la suite le gode avec la crème qui était destinée à soigner ses muqueuses internes et fit cette coquine requête à Sophie : « Tu voudrais me traiter doucement avec ça, ce soir ? Le médicament irait plus profondément de cette façon. — Pas sûre, fit l’autre. T’es certaine que tu es prête pour ça ? — Tu es tellement douce et délicate, Sophie. Si ça fait mal, je te dirai d’arrêter, promis ! » Sophie hésitait. Voyant cependant la bonne évolution de la santé de sa protégée et se rappelant les recommandations de sa mère, elle obtempéra finalement : « Bon, voici ce qu’on va faire, proposa Sophie en désignant un coin de la chambre : je m’installe dans la chaise berceuse et tu t’empaleras doucement sur moi. Et si tu es sage, tu pourras me demander de te conter une histoire. Aimes-tu les contes de fée ? » Toujours nue mais s’étant recouvert le dos d’une couette, Sophie prit place dans le fauteuil berçant, harnachée du gode rendu visqueux par le produit médicamenteux, et attendit. Catherine, qui mouillait déjà d’excitation, un sourire coquin sur le visage, s’approcha de la chaise, tourna le dos à sa partenaire et se déculotta à son tour, présentant de séduisantes petites ...