1. NCIS Règle n° 1 (1)


    Datte: 03/04/2019, Catégories: Divers,

    ... yeux, puis elle dépose sa main toute menue dans la mienne et se lève quand je l’attire contre moi. Son corps tout en courbes douces épouse le mien, et elle ne peut ignorer la raideur encombrante qui appuie sur son ventre. Malgré ses talons hauts, elle arrive à peine à mon épaule contre laquelle elle pose sa joue. Ses mains se posent sur mes fesses et appliquent mon bassin contre elle ; les miennes prennent possession de son postérieur, le caressant à travers son jean. Nous restons ainsi un long moment, dans un silence quasi religieux à peine troublé par nos respirations. Je suis tellement en harmonie avec Alicia que je ressens jusqu’aux battements de son cœur, le rythme haché de sa respiration. Elle se cambre et se dresse sur la pointe des pieds, les lèvres gonflées entrouvertes, les yeux voilés dans l’attente… Je fais la moitié du chemin, me penchant jusqu’au moment béni des dieux où mes lèvres épousent les siennes. Prudemment, j’avance la langue et la présente doucement. En réponse, ses deux mains saisissent ma nuque et me collent façon ventouse pour un baiser torride qui manque de me faire éjaculer très précocement. Sa langue agile s’entortille à la mienne, et sans hésiter elle enroule ses jambes autour de mes hanches, me laissant le soin de la porter et écrasant ma virilité contre son pelvis. Quand je relève la tête, interrompant ce torride échange pour respirer et réfléchir un peu, je suis subjugué par son visage. Les yeux d’Alicia étincellent, plus sombres que dans ...
    ... mon souvenir, brûlants et emplis d’émotion. Ses joues arborent une délicieuse teinte carminée, ses lèvres gonflées tremblent un peu, avides de baisers, ses narines palpitent au rythme de son souffle court. — Prends-moi, tout de suite, me supplie-t-elle d’une voix rauque qui me noue les tripes. — Je n’ai pas de préservatif, ma belle. — Merde, c’est pas vrai ! Attends… Elle s’échappe sans préavis et se rue vers un bureau au fond de la pièce, ouvre les tiroirs brusquement. — C’était le bureau de Serge, un Français sérial-niqueur qui sautait sur tout ce qui bouge. Il avait des présos partout… Tadam ! J’en ai trouvé un. Neuf, encore dans l’emballage. — Ça vaut mieux, tu sais. Un vieux qui a servi, c’est médiocre comme hygiène. Elle revient vers moi en se dandinant, un peu rouge ; ses yeux lumineux transpercent mon cœur comme des lasers et le font exploser. Je grimace en examinant le petit carré qu’elle agite sous mon nez, ce qui l’inquiète. — Ça va pas ? Tu ne veux plus ? Je suis conne… — Arrête, c’est pas ça. Je la retiens par l’épaule alors qu’elle s’apprête à reculer. Elle tente de se dégager mais je serre les doigts et son visage se crispe sous la douleur. — Tu me fais mal, lâche-moi ! — Je sais, mais tu vas m’écouter. J’ai envie de toi, mais… — Mais ? — Mais ton préservatif, c’est une taille normale, et… — Tu me fais marcher, là ? Parce que c’est l’excuse la plus bidon qu’on m’ait donnée. Dis plutôt que je ne te plais pas, que… Je la tire contre moi et l’embrasse derechef, ...