Tout est bien qui finit bien
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
chantage,
pénétratio,
occasion,
... muet et cherche une solution pour me sortir de cette situation. — Voilà, j’ai deux solutions : je peux appeler la police, mais j’ai peut-être un marché à vous proposer. Je reprends espoir me disant que j’ai peut-être une possibilité de m’en tirer. — Je suis d’accord pour étudier le marché.— De toutes façons vous n’avez pas trop le choix.— Non, en effet.— Avec mon mari nous aimons beaucoup des objets d’art, mais comme vous le savez, certains sont inaccessibles et nous avons parfois recours à des manières détournées de nous le procurer, voyez vous.— Je comprends parfaitement. Vous souhaitez que je travaille pour vous dans ce domaine.— Exactement, mais tout d’abord je veux en savoir un peu plus sur vous et vos capacités. N’ayant pas trop le choix, je lui résume mes activités sans trop me dévoiler. — Eh bien, tout cela me convient, nous allons pouvoir travailler ensemble mais avant que je ne vous laisse repartir il faut régler quelques petites formalités pour ma sécurité et mon plaisir. Je ne comprends pas bien le sens de la fin de sa phrase. — Prenez le bloc-note et le stylo sur cette commode et écrivez : « Je reconnais être entré par effraction dans la maison de M. et Mme Mussy afin d’y voler divers objets. » Vous y mettez votre nom et vous signez. Je m’exécute sans même changer mon nom, sachant que cela ne servirait à rien. — Maintenant, enlevez votre cagoule et vos gants, vous allez laisser vos empreintes sur les meubles et je vais vous prendre en photo, cela vous évitera ...
... l’envie de me jouer un sale tour. Elle saisit un appareil photo posé sur le buffet et prend quelques photos. — Par sécurité, je vais mettre la carte mémoire au coffre. Elle pense vraiment à tout et je suis à sa merci. — Bon, maintenant que ces petites formalités sont accomplies nous pouvons passer à la suite.— Et que souhaitez-vous de plus ?— Vous avez enlevé vos gants et votre cagoule, maintenant enlevez le reste.— Comment, je ne comprends pas.— C’est pourtant simple, mets-toi à poil, les émotions que tu m’as causées méritent bien une petite récompense. Je suis piégé et il ne me reste plus qu’à obéir. Je retire mes baskets, défait la fermeture éclair de ma combinaison que je fais glisser jusqu’au sol. Je suis maintenant en slip. — Allez, presse-toi, on arrive au meilleur. Résigné je descends le slip le long de mes cuisses et il rejoint je reste de mes vêtements. — Très bien. Je ne regrette pas d’avoir été obligée de me lever en pleine nuit. Tu es monté à hauteur de mes espérances. Ta queue est bien molle, branle-toi pour qu’elle prenne une taille plus appétissante. Tout compte fait, la situation m’amuse et m’excite. Je prends ma bite et commence à me branler. Rapidement elle atteint une belle taille et se dresse. — Arrête-toi et approche. Je m’avance jusqu’à quelques centimètres d’elle et elle me prend la queue à pleine main. — Il y a un moment que je n’ai pas eu l’occasion, mon mari a eu un problème de prostate et il ne bande plus. Elle se laisse tomber à genoux et se met à ...