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Itinéraire d'un voyeur (4)
Datte: 03/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... vu. J’éjaculais comme jamais. La tension sexuelle redescendue, je pus uriner tranquillement. Les jours qui suivirent je voulais réitérer l’expérience. Malheureusement, à chaque fois la porte des toilettes était fermée. Je n’avais d’ailleurs pas plus de chance avec la salle de bain. Dommage. Mais les moments les plus longs avec ma Tante s’était les vendredis après-midi. Comme je le soulignais précédemment, mon oncle ne rentrait que tard dans la soirée. Je passais donc de nombreuses heures juste avec Catherine. Justement, un vendredi où nous étions ensemble et où le ciel était nuageux, elle m’interpella : « Vu la météo, cette après-midi je n’ai pas envie d’aller à la plage. Mais si tu en as envie ne t’en prive pas pour moi. Tu n’es pas obligé de rester tout le temps avec ta vieille Tante. _ Merci, mais non merci Cathy, lui répondis-je. Je me sens un peu barbouillé et je vais rester à la maison me reposer. Et en plus tu n’es pas vieille mais plutôt très belle. » Je ne me rendis compte de ce que je venais d’affirmer bien après l’avoir dit. J’étais confus. Je commençais à rougir. « Merci mon cher neveu. Venant d’un jeune homme s’est toujours flatteur. Me dit-elle en me fixant et en me souriant. » Puis elle s’affaira à nettoyer la cuisine. Moi qui était assis à la table je voyais tout. Elle portait un short ultra moulant qui laissait apparaître la forme du string et la fente de ses fesses. Son haut, un petit débardeur à bretelle avait du mal à contenir ses seins libérés de tout ...
... sous-vêtement. Lorsqu’elle frottait avec l’éponge sa poitrine bougeait avec ses gestes. Je sentis le trouble s’emparer de moi Je pris donc la décision de monter dans ma chambre. Elle me souhaita une bonne sieste et me demanda de venir l’embrasser comme à l’accoutumer. Je me retrouvais avec le sexe bandé et à l’étroit dans mon bermuda, frôlant les fesses de ma tante et l’embrassant par derrière sur la joue. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle se recula. Ma verge se retrouva en contact direct et au beau milieu de ses fesses. Je restais immobile ne sachant que faire. Elle abrégea mes souffrances en se décalant d’elle-même. Je me précipitai alors dans mon antre pour me masturber furieusement. Je n’avais jamais monté aussi vite les escaliers. Lorsque j’atteignis ma chambre, je soufflai un grand coup, descendis mon bermuda et hottai mon tee-shirt. Une fois en caleçon, je m’allongeais sur le lit. Machinalement ma main caressa mon sexe par-dessus le tissu. Ma verge était bien dure, j’avais l’impression qu’elle avait grandie depuis mon arrivée à Montalivet. Je la sortis et la caressa plus sérieusement. Mon gland était bien gros et rouge, la tige bien courbée et toute dure. J’étais excité comme jamais. Je recouvrais mon sexe de ma main pour l’agiter vivement de bas en haut et de plus en plus vite. Je sentais ma sève intime monter…monter…monter. D’un seul coup, j’éjaculai successivement 5 jets de sperme. Ce fut ma jouissance la plus importante autant sur le plan du bonheur que de la ...