Chaud et froid
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
vacances,
bateau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
fdanus,
Lesbienne
... quart d’heure, je pense ! Ça nous fait une pose, poursuivit Héloïse qui s’installa à l’avant face à moi, abandonnée sur les gilets de sauvetages qui traînaient là. Elle avait troqué son maillot d’hier contre un petit bikini blanc que je ne pus m’empêcher de reluquer. Elle surprit mon regard perdu dans les deux ou trois poils qui dépassaient et semblaient rappeler un passé proche. — Il te plait mon maillot ? susurra-t-elle.— Ben oui, il est pas mal, bredouillais-je surprise. Je sentais que d’autres questions allaient suivre.— Tu as aimé cette nuit ? C’était la première fois, non ? Voulant pas paraître gourde, je lui rétorquai avec désinvolture : — Comme ça oui, mais avec une fille ou un garçon, non, bien sûr !— Hmm, pensa-t-elle tout haut. En tout cas, hier, j’avais l’impression que tu étais accroc à moi. Et puis aujourd’hui, je te trouve plus distante.— C’est vrai, hier j’étais amoureuse de l’image d’une fille qui n’existe pas.— Et… ?— Et j’ai bien réfléchi aujourd’hui et en fait, j’ai plutôt l’impression d’être l’amie et la complice d’une fille qui existe.— Ça, ça me fait plaisir, parce que c’est ça dont j’ai envie. Et puis autre chose aussi. Prestement, elle dégagea son slip et écarta les jambes. — Comme ça ?— Exactement ! Acquiesçai-je les yeux fixé dans sa fourche. Il n’y avait pas de bateau à portée de regard et ne tenant pas à rompre le charme, je baissai la manette des gaz et le moteur ronronna doucement pendant qu’elle glissait une main jusqu’à son minou. Je sentis ...
... mon propre maillot devenir éponge mais je ne bougeai pas. Je débrayai le moteur afin de cesser de regarder partout sur cette étendue vide. Héloïse avait planté maintenant deux doigts dans son vagin et périodiquement les ramenait pour lécher doucement, ses yeux dans les miens. C’était délicieusement obscène. Puis elle ajouta sa deuxième main qui s’aventura vers son bouton. La vue de cette fille presque nue avec son gilet de sauvetage était magique. D’une voix rauque elle murmura : — Et toi, Nath, qu’est-ce que tu attends ? Je regardai autour de moi. Nous étions seules sur ce bateau et j’en avais envie. Alors, je plongeai doucement ma main dans ma culotte et rencontrai mon intimité dans un frisson. Je commençai à me caresser doucement. Puis je fis descendre mon maillot à mes chevilles en ne le quittant que d’un pied : on ne sait jamais ! Héloïse allait et venait très rapidement, les yeux fixés sur moi. De sa main gauche, elle semblait jouer d’un instrument avec son clitoris. Soudain elle renversa la tête et hurla littéralement. Cela n’avait pas duré deux minutes. Elle resta un instant immobile, trois doigts plantés dans son intimité puis son regard revint vers moi avec un sourire. Elle haletait fort. Moi je continuais. J’aimais être fouillée par son regard, comme si j’étais transparente. Cette impression que j’avais, était nouvelle, et j’aimais me montrer ainsi. J’étais impudique et voulait l’être encore plus. J’écartai les jambes et remontai mon bassin. Il fallait qu’elle me ...