1. Un scénario bandé


    Datte: 04/04/2019, Catégories: fh, inconnu, yeuxbandés,

    ... émettent des sons d’acquiescement. Elle suçote sa lèvre inférieure, l’aspire, promène sa langue sur ces incisives. Il introduit la sienne dans sa bouche, rencontre sa jumelle, l’entoure, la repousse, la caresse. Leur baiser passionné s’arrête comme il a commencé, en un instant. Christine a des étoiles plein la tête, un peu le tournis, ne sait plus très bien où elle se trouve dans la pièce. L’a-t-on déjà embrassée comme ça auparavant ? Difficile de le dire, mais en tout cas, ce tournis qu’elle ressent, c’est quelque chose d’inédit pour elle, l’effet de l’excitation supplémentaire du mystère. Christine veut en savoir plus, d’une main habile elle déboucle sa ceinture, défait le bouton de son pantalon et fait glisser la fermeture. Sans faire tomber son pantalon, elle glisse sa main dans l’espace ainsi libéré. Tandis que ses doigts découvrent le renflement d’un pénis généreux et excité sous un caleçon moulant, elle pose des baisers par dizaines sur son torse. Son autre main l’enlace et caresse ses fesses, la base de son dos. L’homme, entouré, abondamment cajolé, est maintenant immobile, tout a son plaisir. Christine aime le sexe, c’est certain. Mais elle aime aussi les sexes, ceux des hommes. La chaleur que ses doigts devinent sous le tissu, la forme comprimée mais dure que le vêtement a du mal à contenir tout à fait, les palpitations sanguines de l’excitation, l’odeur qu’elle croit percevoir s’échapper par la faible ouverture, toutes ces sensations la comblent. Sa caresse se fait ...
    ... plus précise, plus insistante, plus ciblée. Elle s’attarde sur l’extrémité de son pénis raidi, là où elle sait qu’il ressent le plus fort ses attentions, le pince très légèrement, l’agite un peu, le serre. N’y tenant plus, elle se met à genoux, baisse d’un coup ce pantalon que seule son excitation maintenait encore en équilibre fragile, de l’autre main descend son sous-vêtement, puis se saisit à deux mains du membre en érection dont l’odeur de l’excitation lui a fait trouver tout de suite l’emplacement, avant de former un O avec ses lèvres, et de faire venir buter sur ce vagin virtuel le gland brûlant. Avec sa langue, elle teste le contour de son prépuce ouvert et humide de désir. Il a bon goût. Sa main droite s’écarte pour empaumer ses testicules, les caresser, les soupeser, les faire rouler entre ses doigts, tandis qu’elle le laisse pénétrer de quelques centimètres sa bouche désormais ouverte et accueillante, jusqu’à ce que son autre main l’empêche d’aller plus loin. Avec sa langue qu’elle a glissée sous son bâton de chair doux comme la peau d’un bébé, elle découvre cet organe par petites lapées et succions progressives, tout en flattant les testicules qui lui semblent prendre du volume. Lui a posé par réflexe ses mains dans ses cheveux, et les caresse doucement. Il est immobile, mais son souffle s’est accéléré, et il geint maintenant à intervalles réguliers. Sa langue s’arrête sur le frein, la ou le gland est relié au prépuce par cette membrane tellement sensible, dont la ...
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