1. Un parfum... d'un autre temps


    Datte: 04/04/2019, Catégories: f, fh, hh, fplusag, jeunes, extracon, inconnu, nympho, cinéma, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, hdanus,

    ... référant toujours à ce que les femmes lui avaient fait, il mit sa main en conque, soupesa les lourdes couilles et les pressa légèrement. Puis il remonta ses lèvres à la base du gland, et, de sa main qu’il referma sur la colonne de chair, il se mit à le masturber. Longtemps il suça, branla, mais le plaisir de l’autre ne venait pas. Il allait se lever et partir, lorsque l’homme lui dit: — Vas-y, pompe plus vite, ça vient. Suce! Suce bien, oui, ça vient, ça vient! En effet, il sentit la veine se gonfler et l’homme éjacula. La première giclée le surprit. Il avala et un goût prononcé envahit sa bouche. Ce n’était pas du tout le même goût que lorsqu’il avait fait l’expérience avec sa propre semence. Quelques gouttes suivirent, c’était chaud, plutôt liquide et la source se tarit très rapidement. Manifestement son compagnon était vidé. Après cette dernière expérience, Vincent quitta la salle obscure sans répondre aux autres sollicitations. Il sortit du cinéma encore tout étourdi. L’air de la rue lui fit du bien, et il rentra directement chez lui, gardant dans la bouche le goût un peu âcre de l’inconnu. Dans les jours qui suivirent, Vincent dut s’avouer qu’il se sentait sexuellement frustré. Son escapade dans le monde homo ne lui avait pas vraiment apporté de satisfaction, mais répondait simplement à sa curiosité. Par ailleurs ses dernières rencontres et expériences diverses avec Sophie lui avaient plu, mais c’était sans comparaison avec ce qu’il avait expérimenté auprès ses ...
    ... initiatrices. Il devait s’avouer que ses rapports avec des femmes plus âgées lui manquaient. Que ce soit sa logeuse ou avec son amie Denise, elles lui avaient, l’une comme l’autre, fait partager une sexualité profonde et complexe dont le seul but était de faire vibrer au maximum leur corps qu’elles semblaient connaître si bien. Même les «petits défauts» de ces corps dont il raffolait, étaient pour lui des sources d’érotisme. Sans rejeter la fermeté des seins et du petit cul de Sophie, il préférait de beaucoup la générosité et la relative mollesse des appas des deux amies. Il regrettait la plasticité des fesses d’Elizabeth, si malléables et si douces sous ses doigts. Les petits plis à l’aine, à la taille ou sous les seins étaient autant d’endroits charmants qu’il adorait caresser du doigt ou de la pointe de la langue. La générosité d’un clitoris bien charnu l’excitait plus que la petitesse du bouton de rose de son amie qui, pourtant, faisait tout pour développer cette partie de son anatomie. Tout cela manquait à notre jeune homme qui commençait à trouver que la présence inhabituellement longue du mari d’Elizabeth était un véritable fléau. Un jour cependant, rentrant chez lui vers 16 heures, il constata qu’il n’y avait personne dans les pièces communes. Il savait les filles à l’extérieur, et les chambres des propriétaires étaient ouvertes et vides. Depuis quelques jours, Charles V… préparait un nouveau voyage et passait ses journées hors de la maison. Quand à Elizabeth, elle devait être ...
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