1. L'explorateur de plaisir


    Datte: 04/04/2019, Catégories: fh, inconnu, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati,

    ... fesses. — Bien sûr, ce serait mieux d’agir directement sur la peau ! avais-je ajouté.— Si tu veux, m’avait-elle répondu. « Ouhaha ! » pensai-je, « juste ce que je voulais !» Je n’attendis pas pour saisir délicatement l’élastique de la culotte de chaque côté et de la tirer en direction des pieds. Marie-Laure m’aida en soulevant le bassin. Son cul m’apparut alors dans toute sa splendeur, rond, épais et bien en chair avec, dans le prolongement de la raie, la naissance de sa vulve, ce qui raviva mon membre déjà bien gonflé et que je ne pus m’empêcher de presser. Enduire les fesses à nu de la belle fut une joie. Je pouvais les peloter à mon aise, les triturer. Je sentais Marie-Laure apprécier ce pétrissage auquel elle se prêtait de bon cœur. J’avais son cul entre mes doigts, dans mes mains. Je me résolus quand même à reprendre ma technique de l’effleurement pour la sensibiliser au maximum, la rendre « folle » de plaisir, comme on dit. Je m’appropriai les zones sensibles telles que la lisière de ses fesses et la raie. De légers tremblements confirmaient mon choix. Je stimulai la partie interne des cuisses afin d’inciter Marie-Laure à les écarter, car un surcroît de pudeur l’avait amenée à les garder serrées lorsque je lui avais retiré la culotte. Elle les écarta, m’offrant une vue imprenable sur ses charmes vulvaires : de grandes lèvres un peu brunies enserrant de fragiles petites languettes et, sur le devant, un capuchon bien rose. Je me délectai un instant de cette bandante ...
    ... apparition. Puis mes doigts s’encanaillèrent, frôlant cette fleur affriolante, l’agaçant du bout de l’ongle, longeant de l’extrémité de l’index une petite lèvre puis l’autre. Marie-Laure soupirait fortement alors que je me surprenais à humer le doux parfum de ses sécrétions intimes. Je pressai alors entre mes mains chacun des lobes fessiers de la coquine, mes pouces massant les grandes lèvres. Marie-Laure laissa échapper des « hummm » de satisfaction. Son genou droit se plia et vint se placer à hauteur de sa hanche, déployant ses cuisses au point que sa fleur s’ouvrit, dégageant l’entrée gluante de son vagin. Devant cette invitation sublime aux plaisirs charnels, ce laisser-aller envoûtant, mes doigts glissèrent le long de la fente vulvaire, recueillant au passage la précieuse mouille pour aller taquiner le bouton gonflé sous le capuchon. Les petits cris répétitifs de Marie-Laure attestaient du plaisir qu’elle y prenait. Prenant appui sur les genoux, elle bombait le cul pour me donner un meilleur accès à sa corolle pigmentée. Son vagin s’agitait de spasmes que je me fis un devoir de calmer en y enfonçant deux doigts. À cet instant, elle se mit à accompagner le mouvement de ma main et, en me penchant vers son visage, je constatai qu’elle avait les yeux révulsés, la bouche entrouverte, qu’elle semblait être dans une sorte de transe. Lorsque j’essayai de glisser ma main libre sous son sein gauche, elle se mit en appui sur ses coudes. Ainsi, d’une main, je pouvais malaxer sa poitrine, ...
«1...345...8»