1. Julie 5


    Datte: 20/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Et ce message : -Dans une demi-heure chez toi. Tu m’attendras à genoux devant la porte nue avec seulement des bas. Et n’oublie pas ton collier. Il me restait une demi-heure pour rentrer et me préparer. L’heure correspondait au quart d’heure prêt à l’heure de retour de ma mère de boulot. Mon coeur battait à toute allure. Il me fallait encore traverser le quartier encombré par les embouteillages pour arriver sans retard. 5 minutes avant l’heure dite je rentrais à la maison. Pas le temps de me rafraîchir. J’enfilais ma paire de bas et un peignoir léger et me mis à scruter ton arrivée par la fenêtre. Quand enfin je t’ai vu au bout de l’allée je me suis rendue à la porte, et ôtant mon peignoir je me suis agenouillée attendant tremblante que tu ouvres la porte. Enfin tu es apparu. J’étais prête à me jeter dans tes bras pour t’embrasser et te serrer enfin. - Je ne t’ai pas demandé de te lever. De toute manière je n’ai pas beaucoup de temps à t’accorder. Tu m’as prise par la main et m’a entraînée vers la salle. D’habitude c’est toujours dans ma chambre que ça se passait. Tu as guidé ma main vers ton entrejambe. Tu bandais déjà bien fermement. J’ai ouvert la braguette et ma bouche a enfourné ton sexe. A la base de ton sexe, tu avais un anneau métallique qui mettait en valeur tes parties génitales. Plus tard, j’apprendrai que cet ustensile s’appelle un cockring et permet de renforcer l’excitation des hommes. Tu m’as fait retourner sur la table et sans ménagement tu es rentré dans mon ...
    ... sexe. Tu n’y a fait qu’une rapide incursion, histoire d’y trouver un minimum d’humidité avant de t’engager dans la voie étroite sans préparation. Et là, je l’ai sentie passer. Je n’étais pas prête, serrée et ta poussée m’a littéralement déchirée. -Arrête, je t’en prie. J’ai mal. Je t’en supplie, arrête. -Depuis quand tu t’autorises à me refuser des choses. Ferme-la ou je serai obligé de te punir durement. Là dessus tu as saisi un de mes tétons et la froissé entre ses doigts. j’ai crié de douleur. Mais cette douleur vive n’était rien à coté de celle qui vrillait mon bas ventre entièrement contracté et tu pilonnais sans ménagement aucun. Je pense que c’est le pire moment que j’ai pu vivre sexuellement parlant. Je ne parvenais à me détendre. Enfin tu t’es libéré en moi. Je me sentais sale et douloureuse, nue devant toi qui était encore habillé et qui n’avait même pas enlevé ta veste. Tu a sorti un mouchoir en papier et tu t’es essuyé la verge dedans. Il y avait dessus aussi des traces de sang. -Maintenant tu sais ce que se faire enculer veut dire. Mes yeux étaient plein de larmes, je reniflais. J’ai entendu un bruit de voiture dans l’allée : c’était maman qui rentrait. Prise de panique, je me suis précipitée dans ma chambre pour me cacher te laissant là au milieu du salon. -Bonjour, Laurent. Mais que faites vous là? - Je suis venu voir Julie pour quelque chose qui concerne ses études. Elle m’a ouvert et puis elle est partie dans sa chambre en demandant de l’attendre. - Et elle ne ...