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Doux aveux
Datte: 05/04/2019, Catégories: Anal Humour, Masturbation
... trayeuse électrique qu’elle avait louée à la pharmacie pour se traire et elle mettait le lait dans son frigidaire. Elle me l’avait montré et j’avais pu voir quelle en tirait presqu’un litre tous les jours. Je lui ai dit aussi que je ferais la même chose mais je n’en ai pas eu le courage même si j’ai utilisé moi aussi une trayeuse. C’était plus par vice parce que je donnais déjà mon lait à ma fille et aussi à mon mari quand il était là le week-end. Je m’en servais pour m’exciter, et faire disparaître mes mamelons et mes aréoles dans le tube et aussi mon clitoris.C’était ma revanche car je voulais être plus putain que la putain qu’était allé voir mon mari avant notre rencontre. C’est pour ça que je lui ai proposé de m’enculer. Il avait eu peur de le faire mais j’ai insisté. Il m’a enculé et pendant plusieurs mois ça a été notre seule façon de faire l’amour jusqu’à ce qu’on recommence à faire l’amour normalement et que ses spermatozoïdes ne rencontrent mon ovule.Je l’ai su tout de suite en me relevant du lit pour aller me laver. La semence s’écoulait de mon vagin sur mes cuisses quand j’ai dit à mon mari que j’étais prise. Il avait suffit d’un instant. J’étais prise. Il m’avait engrossée. Ne restait plus qu’à attendre ce moment que j’avais toujours souhaité : que mon ventre soit assez gros pour que personne ne puisse plus ignorer que j’étais enceinte mais ce sont mes seins qui ont commencé la danse car ils n’ont pas tardé à enfler. Me voilà avec des nichons énormes, aussi gros ...
... que des ballons de rugby et l’envie, le besoin de me masturber en plus de faire l’amour.Au début, c’était toujours aussi facile. Pas de gros ventre pour gêner mon bras. Pas besoin d’en faire le tour. Mes doigts facilement sur ma chatte et même dans mon vagin. Je serrais mon index et mon majeur l’un contre l’autre et je les enfonçais dans mon trou et avec mon pouce j’écrasais mon clitoris. Il ne me fallait pas longtemps. Tout au plus dix minutes avant d’avoir le rouge aux joues et l’impression que j’allais mourir comme ça m’était souvent arrivé quand j’étais jeune fille. Un soir, ma mère m’avait surprise dans ma chambre. Là encore, j’avais eu l’impression que j’allais mourir. Oh, ma chérie m’avait-elle dit avant de découvrir ce que j’avais fait, qu’est-ce qu’il y a ? Tu es malade ? C’était facile. Il lui avait suffit de soulever le drap et de suivre mon bras du regard. J’avais encore les doigts plongés dans mon pot de confiture. Oh, chérie, avait-elle ajouté en posant sa main sur mon front… Elle n’avait rien dit de plus. Ça faisait longtemps que je savais qu’elle se masturbait en l’absence de mon père et quand il était là, ils se disputaient, même au lit quand elle lui disait qu’elle ne voulait pas faire ses cochonneries et qu’il lui répondait qu’elle était sa femme et qu’il avait le droit de l’enculer. Pendant longtemps j’avais entendu ma mère dire qu’il lui faisait mal mais elle avait fini par accepter de subir ce qu’elle appelait le vice de mon père. Je me rappelle encore ...