Christine V : Coeur, sexe et imagination (3)
Datte: 05/04/2019,
Catégories:
Hétéro
... me fait fantasmer depuis deux décennies. Christine n’a plus aucun complexe avec moi : — Mmmh… Reviens ! — Laisse-moi le regarder. — Il y a vingt ans qu’il t’appartient, mais regarde-le encore, tant que tu veux. Christine ondule des fesses et m’allume : — Tu aimes toujours mon gros cul après toutes ces années ? Quand tu en parles, ça me rend dingue, ça me rend folle. Ça m’excite tellement ! Elle ajoute : hzchooan — J’adore que tu me baises en levrette, quand tu t’agrippes à mes hanches et que tu me prends bien fort ! Elle passe un doigt sur son anus puis le glisse dedans et se doigte. Elle m’achève : — Mais mon péché mignon, c’est quand tu me prends par là. Ici même, il y a vingt ans, je n’aurais jamais imaginé que la sodomie serait au centre de mon activité sexuelle. J’aime tellement quand tu m’encules. Viens, s’il te plait, prends-moi par le cul ! Surexcité, je reviens derrière elle. Elle n’est pas prête pour une sodomie et je le lui fais remarquer. Elle dit : — Tant pis, viens quand même ! Doucement, mais viens… J’ai trop envie ! Malgré ma salive, je vais enculer ma femme à sec pour la première fois. Je fais le plus doucement possible, mais j’ai l’impression du lui arracher l’anus en poussant contre celui-ci. Elle gémit douloureusement et crie quand mon gland franchit le cap. Je bouge, mais ça ne glisse absolument pas. Christine insiste : — Pousse, entre plus loin ! J’obéis et avance lentement. Elle crie, mais m’exhorte à poursuivre. Elle a beau se détendre, le problème est ...
... que ça n’est pas lubrifié. A sa demande, je commence mes va-et-vient. C’est douloureux pour moi, ça brûle et j’imagine ce que ça doit être pour elle. Mais ça semble l’exciter. Je prends ses hanches et accélère. L’étreinte se desserre un peu et j’accélère encore. Christine ne dit rien, je n’entends que son souffle haletant. J’explose abondamment en elle et me retire illico. Suffocante, Christine s’affale à plat ventre, cul nu, sur le banc, l’anus rougi et ouvert par mon passage forcé. Il lui faut plusieurs minutes pour reprendre son souffle. Elle se redresse ensuite pour s’asseoir mais la douleur la fait s’allonger à nouveau. Elle se lève tant bien que mal et s’accroche à mon bras : — Toutes celles qui oseront me dire qu’elles se sont faites "défoncer le cul" me feront désormais bien rire. Je descends sa jupe et ramasse son string. Je ris, mais Christine peut à peine marcher et je dois vraiment la soutenir. Il nous faut cinq bonnes minutes pour atteindre la voiture qui est à 50m. J’aide Christine à s’asseoir. Sur le côté. En chemin, les douleurs diminuent un peu et Christine parvient à s’asseoir normalement à quelques encablures de la maison. Elle sollicite néanmoins mon aide pour sortir de la voiture. Je l’aide ensuite à se déshabiller et pour faire sa toilettes. Je suis particulièrement doux en nettoyant son anus dont la couleur a viré du rose clair au violet. Au lit, elle en rit : — Ça m’apprendra à jouer à la salope ! Je l’embrasse : — Tu ne joues pas, tu es une salope. — ...