1. Balade en montagne


    Datte: 05/04/2019, Catégories: ffh, inconnu, vacances, forêt, amour, Oral pénétratio,

    ... son clitoris la fait exploser dans un grand cri. Elle reste immobile sur sa monture, mais sa copine qui attendait son tour la désarçonne et prend place sur l’épieu. Elle n’a aucune peine à se positionner, excitée, elle coule comme une fontaine. De plus la tige a été particulièrement lubrifiée par la cavalière précédente. La sensation pour lui est bonne aussi, mais différente. Le sexe qui l’accueille semble plus resserré, pas plus étroit, mais plus musclé. Il en sent les contractions lors de chaque mouvement. Il ne pourra tenir longtemps à un tel traitement. Béa s’est inclinée, Luc a tendu les bras et accueille un sein dans chaque main. De son côté, sa maîtresse adapte son rythme aux pulsions du sexe qui l’envahit. Et bientôt chacun amène l’autre à la jouissance. Plus discrète que sa compagne, c’est plutôt un hululement qu’émet Béa en s’affaissant sur la poitrine de Luc. Alice, envieuse, vient se blottir contre le couple, rabattant le duvet sur le groupe. Tous trois, ils restent un long moment enlacés. Luc est aux anges. Au diable la solitude recherchée, il profite de l’occasion. Ce sont ses bras endoloris qui l’ont tiré du sommeil. Il se dégage de l’emprise des deux filles. Le jour commence à se lever, mais il doit être bonne heure. Lentement, sans bruit, il sort de la tente en ayant soin de bien recouvrir les deux dormeuses. La végétation est toute humide, froide. Le ruisseau est tout proche. Malgré la fraîcheur de l’eau, il se lave entièrement, tout nu. Puis il va courir ...
    ... un peu sur le sentier. Il repère une pancarte indiquant un itinéraire pour les forestiers et les pompiers. Il le suit et arrive à une maison forestière fermée. Dans le mur, une niche avec un téléphone relié au centre de secours. Bonne affaire, se dit-il, je vais pouvoir évacuer mes pensionnaires et continuer ma balade. Il revient à la tente. Aucun bruit, elles dorment encore. Il allume son petit réchaud et fait chauffer de l’eau pour préparer les boissons chaudes, café ou chocolat suivant leur goût. Puis il entrouvre la porte de la tente. Le crissement de la fermeture à glissière fait entrouvrir un œil à Béa. — Tu es déjà levé ! Mais quelle heure est-il ?— Huit heures et demie. Tu veux boire quelque chose ?— Je viens, laissons dormir Alice. Elle sort en haut de survêt et culotte. Et ce n’est pas pour déplaire à Luc. Bien que le soleil soit levé depuis longtemps, il ne fait pas encore très chaud. Elle frissonne. — Tu veux un café ou un chocolat ?— Un café d’abord pour me réchauffer, nous verrons pour la suite.— Tu n’auras qu’à aller courir un peu, tu seras vite réchauffée.— Tu viens avec moi ?— J’ai déjà couru une petite heure après m’être lavé. Le bruit de leur conversation a réveillé leur compagne. Elle sort en boitillant et grimaçant. — C’est la première fois que je couche sous une tente, mais je m’en souviendrai toute ma vie. Ma blessure, l’orage et… tout le reste ! Ses deux compagnons éclatent de rire à l’énoncé de « tout le reste ». Après avoir pris leur petit déjeuner, ...
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