1. Une envie...


    Datte: 06/04/2019, Catégories: fh, inconnu, hotel, strip, 69, préservati, confession, totalsexe, bourge,

    ... jambes et mes jolis pieds chaussés d’escarpins, mais rien de provoquant non plus. La jupe reste sagement à sa place. À priori, les choses devraient bien se passer. Le blondinet vient de se lever et s’approche du bar, pour s’installer à côté de moi. — Bonjour ! Cliente de l’hôtel ? Je vous offre un verre ? Pas très original mais ce n’est pas important. Je ne sais pas s’il a senti que j’étais en chaleur… Je me demande si les hommes le ressentent. Certains sans doute, ceux qui ont le plus de « succès avec les femmes ». En le regardant avec mon plus beau sourire : — C’est très aimable, mais excusez moi, j’ai fini mon verre. Je dois m’absenter une minute. Je me lève et, en passant tout près de lui, je lui glisse mon petit papier du bout des doigts sur le bar. Sans me retourner, je me précipite aux toilettes, le rouge aux joues… mais la culotte décidément humide. Je m’enferme dans une cabine et je respire un grand coup. Je dois faire le tri dans mes désirs. Je veux rester maîtresse du jeu de bout en bout. Je ne l’embrasserai pas, trop connoté. Je garderai ma culotte. Il faisait trop chaud pour porter des bas dehors, mais pas dans une chambre climatisée… Je prends la paire neuve qui ne quitte jamais mon sac, au cas où. Couleur chair pour aller avec tout. J’ôte mes chaussures et je tends ces petits bouts de nylon sur mes cuisses. Je suis sûr qu’ils lui feront de l’effet. Bon, allez, un coup d’œil au maquillage, une retouche de rouge sur mes lèvres… et retour au bar. Juste à côté de ...
    ... mon verre, le petit papier est là, face tournée vers le comptoir. D’un air dégagé, je demande au barman combien je lui dois. — C’est payé, Madame, me dit-il. Je ramasse mon sac et retourne enfin le « billet doux ». Chambre 269… Un bon présage ? Oui, j’accepterai le 69, et aussi la chandelle. Pas de missionnaire ou de levrette, positions trop « soumises ». Je me dirige vers l’ascenseur, un couple monte en même temps que moi. L’homme me déshabille du regard, pas très discrètement. Comme je quitte la cabine, j’entend sa compagne lui dire « Non mais ne te gène surtout pas ! »… J’ai l’impression d’être une bombe sensuelle. La chambre 269, au bout du couloir. Je frappe. Un timide « Entrez », puis il réalise que je ne peux ouvrir de l’extérieur et il m’ouvre, en s’écartant pour me laisser passer. J’entre et j’entends la porte se refermer. Le lit est fait. La télévision est éteinte. Il a rangé sa valise et toutes ses affaires et sorti une bouteille de champagne, une demie, sans doute du mini bar. Il est derrière moi, je le sens. Je me retourne et ne lui laisse pas le temps de parler : — Merci d’avoir répondu à ma proposition. Je ne veux rien savoir de vous et vous ne saurez rien de moi. J’ai envie de faire l’amour et c’est pour cela que je suis ici. Je repartirai aussitôt après, sans vous laisser aucun numéro. Je ne suis pas une nymphomane ou une folle, j’ai juste envie. Je ne vous embrasserai pas, je ne suis pas soumise ou dominatrice, mais si vous vous laissez guider, nous passerons ...
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