1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1105)


    Datte: 06/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) – … tant j’avais maintenant terriblement envie... Mais je n’eus pas cette délivrance jouissive, car un des hommes me lâcha avec autorité : - Non salope, pas toi ! Elle (il montrait Anne) a droit à la jouissance, pas toi … Enfin pas pour tout de suite … Comme il m’était difficile de ne pas laisser exploser mes orgasmes lesquels on m’en interdisait le plaisir… Il me fallut de longues minutes pour me calmer, calmer ce feu orgasmique qui ne demandait qu’à exploser en mon corps tel un volcan en furie… Une fois que je me fus un peu calmée de mes envies, les Dominants me détachèrent alors de mes liens et nous conduisirent chacune en un cachot différent et s’en était bien de réels car chacun de ceux-ci était bâti en pierres de taille, glacial, au sol de la terre battue, et comme siège, posée sur deux parpaings, une planche nue. Un petit soupirail armé de barreaux comme dans une cellule de prison, donnait en journée un peu de lumière. On me jeta sur la planche servant de siège et m’immobilisa ainsi : Le gardien des cachots, homme bourru s’il en est, me dit laconiquement : - Ton cou ! Je tendis le cou docilement, il me passa un collier métallique comportant deux chaînes courtes. Assise sur la planche servant de siège, l’une des deux chaînes fut fixée à l’un des barreaux de la fenêtre, tandis que l’autre le fut à un anneau fiché dans le mur. Dans cette pose, je ...
    ... compris très vite que je ne pouvais plus ni m’abaisser, ni m’allonger éventuellement, ni aller vers la gauche ou la droite. Mais mon appareillage ne s’arrêta pas là… - Tes bras, croisés derrière le dos, ordonna le geôlier J’obtempérai rapidement. Il me regardait d’un sourire pervers. - Toi, je vais te soigner, petite poule, tu vas voir… Il sortit du cachot, je l’entendais remuer des pièces métalliques et revint avec une sorte de ceinture en métal, effectivement qu’il me plaça sur le ventre. La ceinture était glaciale et le contact avec ma peau du ventre très chaude me fit me crisper, remontant mes cuisses… Une puissante gifle atterrit sur ma joue gauche mais ma tête étant immobilisée par le collier en enregistra à la fois, la force et l’intensité. Il ajusta la ceinture que j’observais du coin de l’œil. De chaque côté de la ceinture, un anneau avec une attache métallique encore… Il me prit le bas gauche et le tira fortement encore plus vers la droite de mes reins en y posant mon poignet qu’il enferma dans l’attache. Mon épaule me faisait très mal, tandis qu’il en faisait de même avec l’autre bras. La pause devenait franchement inconfortable. Mais l’installation ne s’arrêtait pas là. Au milieu de la ceinture et donc de mon ventre, une autre chaîne descendant entre mes cuisses qu’il me fit relever assez haut sur le ventre tout en m’ordonnant de plier mes jambes, rapprochant mes talons de mes fesses… Au bout de cette chaîne, un anneau duquel partaient deux autres chaînes plus courtes ...
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