1. L'éveil voluptueux


    Datte: 06/04/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, revede, Oral nopéné,

    Je m’étais endormi. De peine et de misère, car on ne s’endort pas aux côtés de Cléopâtre comme on dort avec son nounours en peluche. Tu as sombré dans les vapeurs du sommeil presque une heure avant moi, assoupie par la chaleur. Pour ma part je n’avais pu m’empêcher de regarder ton corps nu, à peine couvert par le drap blanc… …Ton visage doux et endormi, ta chevelure foncée en cascade et ton sein à découvert, si beau et si alléchant… Le reste de ton corps de déesse était caché par le drap, bien qu’impudiquement moulé par celui-ci. Je pouvais deviner ton sein voilé, la forme de tes cuisses, la courbe de tes hanches et de tes fesses, ainsi que la douceur de ton sexe et la fine toison noire qui le surplombe. Il m’aurait fallu penser à tous les Saints et au Pape lui-même pour ne pas être aguiché par ton érotisme somnolant. C’est donc l’esprit et le corps troublé que je me suis endormi, avec en tête les douces et sensuelles images que ton corps m’avait laissées. Les songes qui m’assaillirent durant mon sommeil étaient d’un érotisme si foudroyant que mon esprit se réveilla en sursaut… … Quelques secondes me sont nécessaires pour prendre conscience de mon éveil. Mon sursaut te fait émerger aussi des limbes du sommeil et tu ouvres doucement les yeux. Mes songes émoustillants n’ont pas réveillé que mon esprit, une érection violente et même douloureuse ne fait que confirmer la nature des pensées qui possèdent tout mon être. Je ne peux m’empêcher de coller mon membre durci contre le bas ...
    ... de tes reins. Tu tournes la tête vers moi et plonges un regard plutôt éveillé et suggestif, pour quelqu’un qui vient d’être tiré du sommeil. Mon sexe frotte maintenant contre tes fesses. Je commence à perdre mes moyens quand, sans dire un mot et toujours en me fixant du regard, ta main descend et saisit mon membre comme pour s’en rendre maître. Tandis que tu entames une masturbation adroite, mes lèvres s’emparent des tiennes, nos bouches s’entrouvrent et nos langues s’emmêlent dans un tourbillon à la fois féerique et indécent. Ma main attrape ta nuque et nous nous embrassons de la manière la plus sensuelle qui soit. Tu te détaches de notre baiser et tu plonges ton regard dans le mien. Sans me quitter des yeux, tu viens poser tes lèvres sur mon torse et tu descends tranquillement le long de mon ventre en éparpillant coups de langue et baisers. Sans jamais me quitter des yeux, tu empoignes ma verge avec fermeté et, sans autre forme de procès, tu entames une fellation qui me fait perdre le peu de moyens qu’il me reste. Tes lèvres coulissent divinement le long de ma verge et ta langue ne cesse de cajoler le bout de mon gland. Tu m’arraches soupirs et gémissements et tes yeux, trahissant ta soif de plaisir, ne font qu’exacerber la jouissance qui s’empare de moi. Voulant te rendre la pareille, mais surtout parce que je suis affamé et impatient de me délecter de ton nectar, je te prends la tête à deux mains pour t’embrasser et, en moins en quelques secondes, je glisse la tête entre ...
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