1. Masques à l'hôtel


    Datte: 06/04/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, hotel, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, yeuxbandés, journal,

    ... extérieure et referme la porte à clef. Elle place alors un masque vénitien, prolongé sur sa base inférieure d’un tissu fin qui cache le bas de son visage. Le masque laisse entrevoir ses yeux pour qu’elle puisse tout voir mais ne permet pas de la reconnaître si jamais j’avais l’envie de la regarder. Elle s’approche du lit, me chuchote un bonjour et nous décidons de ne parler qu’en chuchotant, nos voix resteront donc elles aussi inconnues. Elle s’agenouille à côté du lit. Je sens sa main gauche se poser sur la mienne, paume contre paume. Sa peau douce glisse en spirales lentes et me procure déjà un frisson qui ondule des doigts jusqu’au cou. Ses doigts commencent à masser le muscle du pouce, puis tous ceux des autres et la paume. Ils déboutonnent ensuite la manche de la chemise, la font remonter au coude tout en glissant légèrement sur l’intérieur lisse de mon avant-bras, très sensible. Sa main continue alors son chemin sur le tissu vers l’épaule, sur le haut des pectoraux pour finir sur le premier bouton supérieur. Elle défait les deux premiers, glisse sa main gauche sur la peau juste au-dessus du cœur, revient entre les deux muscles larges du torse seulement avec la pulpe du majeur et de l’annulaire. Ces deux extrémités se dressent sur les ongles aux bords bien ronds, qui tracent une ligne fine et la dessinent jusqu’au bord de ma lèvre inférieure, toujours recouverte du foulard. Elle positionne ses quatre plus longs pinceaux sur mon menton et ils peignent ma peau pour finir ...
    ... leur œuvre sur la pointe du V de l’ouverture de ma chemise, détricotent tous les autres boutons et ouvrent les deux pages déliées pour laisser apparaître le caractère des abdominaux et pectoraux de mon corps qui commence à s’échauffer. Ses deux mains tièdes appuient tendrement sur ma surface glabre ainsi découverte et reprennent la danse ébauchée juste avant par sa première peinture légère. Après quelques valses digitales, elle me demande de m’asseoir, retire les deux manches et enlève la chemise pour la déposer sur la chaise à côté du lit. Elle défait ma ceinture, les boutons du pantalon qui, de ce fait, tomberait à mes pieds si j’étais debout. Elle prend mes épaules, une dans chaque main et amorce un mouvement qui me fait comprendre de m’allonger sur le ventre. Je l’entends se déchausser et venir s’asseoir sur moi, au niveau de mes fesses. À ce moment-là, ses ongles se posent sur le haut de mes trapèzes, et griffent doucement, lentement toute la longueur du dos, plusieurs fois de haut en bas. Un deuxième frisson, plus fort celui-ci, me parcourt tout le corps, comme une vague qui s’échoue sur le sable chaud d’une plage en été, à la même lenteur, à la même douceur, à la même fraîcheur. Ses fesses se soulèvent, ses mains agrippent la ceinture et le haut du pantalon. En restant ainsi accrochée, ses genoux glissent l’un après l’autre vers mes chevilles, elle tire ses bras vers elle et découvre alors mes deux collines rebondies sous le tissu noir de mon boxer puis les cuisses. ...
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