1. Masques à l'hôtel


    Datte: 06/04/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, hotel, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, yeuxbandés, journal,

    ... rasée de près de tous mes instruments masculins, empoigne le manche à sa base l’immobilise bien droit et le gobe, ses lèvres frappant son index et son pouce qui l’enserrent. Ma cerise ressent la chaleur du fond de son palais et de sa langue. Cette dernière fait plusieurs cercles autour de la sucette fruitée. Lâchant prise, ses mains prennent appui de chaque côté de mes hanches et elle s’allonge de tout son corps brûlant sur le mien ardent. Nos visages si proches mais invisibles susurrent de petits souffles rapides. Elle soulève son bandeau pour dégager ses lèvres. Ses dents attrapent ma lèvre inférieure, la pincent doucement, la relâchent plusieurs fois alternativement pour enfin l’attirer en partie à l’entrée de sa bouche. Sa langue inspecte en détail cette douceur étrangère. Nos corps humides commencent à glisser l’un sur l’autre, provocant un massage exquis. Elle glisse sur le côté et se met sur le ventre, me demande de la couvrir de mon corps, mon ventre sur sa chute de reins, après avoir déposé du lubrifiant dans le sillon séparant ses deux magnifiques dunes. J’écarte délicatement la cascade de ses cheveux pour dénuder son dos et son cou. Ainsi superposés, ma baguette, ornée de cette cerise qui pleure à présent son propre lubrifiant transparent, visite en plusieurs allers-retours cette dépression glissante en contact permanent avec ses fesses. Elle se cambre, écarte ses cuisses avec lenteur et me demande d’entrer dans la cachette du papillon, bien luisante maintenant. Je ...
    ... pousse délicatement la cerise seule à l’entrée, la ressors, plusieurs fois de suite, tant qu’elle ne me supplie pas d’engager toute la sucette. Elle le chuchote enfin et je pousse la cerise vers le fond jusqu’au col. D’abord grâce à quelques va-et-vient lents, son souffle et son cœur s’accélèrent. Puis j’augmente le rythme, le ralentis à nouveau. Ses mains attrapent mes poignets et enfoncent ses ongles dans ma peau, annonçant un grand plaisir se libérant lentement du fond de son ventre. Quelques minutes après ces mouvements alternatifs, son bassin tressaille, elle explose de son plus bel orgasme, expulse un cri qu’elle ne peut contenir et ma cerise produit soudainement son confit blanc et chaud, qu’elle ressent en elle. Le plaisir qui explose en moi est aussi vaste que le Laniakea. La Voie Lactée plongeant dans le sillon perdu, Grand Attracteur, comme toutes les galaxies de cet amas immense dans l’horizon céleste, paradis incommensurable de la Vierge, que n’est plus ma partenaire depuis longtemps ! Toujours superposés, nous restons allongés, trempés, rougis, brûlants, baignés d’un plaisir flottant dans chacun de nos organes. Après que nos cœurs se calment et que nos corps s’apaisent, je me retire, bascule sur le côté. Ainsi libérée, elle se lève, me demande de me tourner le dos pour lui rendre son masque et me remettre le foulard sur mes yeux. Elle prend une douche, se rhabille, dépose un dernier baiser sur mes lèvres encore rouges de plaisir et sort de la chambre. Immobile, ...
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