1. Ange ou Démon ?


    Datte: 06/04/2019, Catégories: f, fh, ff, inconnu, vacances, bain, forêt, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme chaussures, Masturbation Oral fgode, légumes, fdanus, jeu, attache, yeuxbandés, piquepince,

    ... juste une petite robe boutonnée sur le devant que je lui avais prêtée. Elle n’avait pas fermé beaucoup de boutons et je pouvais voir le sillon entre ses seins. Elle écarta les pans de sa robe. — Tu veux bien m’enlever les pinces ?— Oui. Et je m’approchais d’elle, et le plus délicatement possible je dévissais les petits étaux. Anne avait le souffle coupé. Ses tétons avaient gardé une marque visible. Je ne savais pas quoi faire pour la soulager.— Lèche-moi doucement tu veux ?— Oui, tu as mal ?— Oui, c’est douloureux, je ne suis pas habituée. Et j’approchais ma langue, elle semblait apprécier ma douceur et bombait sa poitrine vers ma bouche. Je gobais la pointe de ses seins puis faisais tourner ma langue sur ses aréoles. Pour rejoindre notre « plage » nous avions à peu près 10 minutes de marche à travers la forêt. Anne n’avait par refermé sa robe et elle se promenait les seins à l’air. Elle m’excitait, elle paraissait totalement libre, sûre d’elle. J’avais envie d’elle lorsque nous arrivâmes le long de la rivière. Anne me demanda de l’attendre, je me retournais, elle était accroupie les jambes écartées et satisfaisait à un besoin naturel. Un puissant jet doré éclaboussait ses pieds. Anne me sourit. — Le bruit de l’eau, c’est terrible, c’est comme les fontaines d’intérieur !— C’est vrai, moi aussi ça me fait cet effet. Et enlevant ma robe, je m’accroupis dans l’idée de faire de même.— Allez la première à l’eau a gagné ! Et abandonnant sa robe Anne courût vers la rivière.— Et ...
    ... attends ! Je n’avais pas fini, je me levais et me mit à courir, sentant sur mes jambes des jets chauds et puissants. Et je sautais dans l’eau, éclaboussant Anne.— C’est pas juste t’a triché !— C’est vrai, viens, je te dédommage… Et elle m’embrassa, aspirant ma bouche, ma langue. En même temps je l’enlaçais, la serrant contre mon corps.— En attendant, tu as gagné quoi ?— Je ne sais pas, toi peut-être ?— Moi ?— Oui, toi ! Anne me regardait droit dans les yeux, attendant ma réponse.— Alors, ok, tu m’as gagnée. Et Anne m’embrassa à nouveau, c’était le bonheur, jamais je n’aurai pensé être si bien. Elle était tendre, douce mais également passionnée et coquine. Le reste du monde n’existait pas. Nous barbotâmes encore quelques minutes puis nous sortîmes de l’eau. C’était la fin de la journée et j’avais fin, je pris ma robe et commençais à l’enfiler. — Attends, reste comme ça, tu me plais.— D’accord, après tout si je suis à toi, je dois t’obéir non ? Et je laissais ma robe et mes chaussures que je glissais dans le petit sac à dos. Anne fit de même et nous partîmes à travers la forêt, nues, main dans la main. Arrivant près de la voiture, Anne stoppa brusquement et me fit un signe. Un homme, accroupi sur son vélo était en train de pester. Manifestement il réparait un pneu crevé et ça ne le remplissait pas de joie. Anne se serra contre moi, nous étions cachées par un rempart de buissons et le soir commençait à tomber doucement. Elle me caressait, m’embrassait et soudain, elle me demanda : — ...
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