1. Mes voisines (3)


    Datte: 06/04/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... quand apparait Joëlle vêtue d’un corsage léger et transparent à peine boutonné au milieu du ventre, on distingue très bien ses seins dessous, et d’un jupe courte plissée. –Bonjour Jean. Je me lève pour la saluer, mais elle vient vers moi et m’embrase sur les deux joues. Je suis envahi par son parfum, je reconnais « Air du temps » que portait ma première femme. –Asseyez-vous, un apéritif ? pltphhv –Volontiers. –J’ai du pastis, du porto, du whisky, du gin, qu’est-ce qui vous ferez plaisir ? –Un whisky s’il vous plait. –Glace, eau plate, Perrier ? –Perrier et glace s’il vous plait, c’est assez rare qu’on me propose du Perrier, peu de gens le prennent comme ça. –Mon mari le prend comme ça. –Il n’est pas là ? –Non, il est à Paris pour son travail, c’est la réunion de fin de mois. Ils discutent de la stratégie à venir, juste une excuse pour faire la fête à Paris entre copains. –Je sais ce que c’est, j’ai été commercial pendant plus de vingt ans. –Virginie, ma chérie, tu peux aller chercher le Perrier, je sers Jean, un porto pour toi ? –Oui. Virginie se dirige vers la cuisine pendant que Joëlle me sert mon whisky. Elle se penche sur la table basse, pour verser le liquide, me dévoilant ses seins que je vois pour la première fois complètement dénudés de ci près. Ils sont encore blancs, elle n’est pas encore allée à la plage, mais toujours aussi appétissant. Elle se sert elle aussi un whisky et le porto de sa fille. Virginie revient avec une canette de Perrier, l’ouvre et m’en verse ...
    ... un peu dans mon verre. Lesdeux femmes s’assoient en face de moi. Nous levons nos verres à la santé de tout le monde. La discussion porte sur un peu tout. Virginie est assise en face de moi avec les jambes serrées, mais sa robe moulante fait un pont entre ses cuisses, ce qui libère la vue jusqu’à sonpubis que je distingue parfaitement. De plus, sa robe moule parfaitement ses seins donc les mamelons pointent au travers du tissu. Comme je l’avais constaté en arrivant, elle ne porte pas de sous-vêtement. De même pour sa mère qui, elle, croise et décroise ses jambes me faisant admirer à chaque fois ses lèvres intimes roses et de plus en plus brillantes, je distingue même au bout d’un moment, un liquide blanchâtre sortir de son sexe, elle s’excite de plus en plus. Tout à coup Joëlle pose son verre, se lève et fait un brusque tour sur elle-même faisant monter sa jupe au niveau de sa taille me dévoilant sans pudeur son sexe et ses fesses. –Qu’en penses-tu ? Elle me tutoie. Je suis un peu interloqué, je pensais bien que la conversation allait venir à ce qui c’était passé ces dernières années, mais pas comme ça. –Si tu veux parler de tes fesses et de ton sexe, je suis en admiration depuis un bon bout de temps. Je les connais sous toutes leurs coutures. Je peux même dire la même chose de tes seins. Virginie se lève, fait remonter sa robe jusqu’à sa taille. –Et moi ? –Je ne peux que te donner la même réponse. Vous êtes toutes les deux très belles. Joëlle déboutonne son corsage et le jette ...