1. Une chance de cocu 8


    Datte: 06/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    - Nous pourrions nous tenir chaud? Marlène a froid. J’accepte de lui faire une petite place à côté de moi, sur la couchette du chauffeur, derrière les sièges. Ma passagère propose. On se serrera, en tout bien tout honneur. Elle sait que je suis correct. Ma conduite l’a prouvé jusqu’ici. Depuis qu'un dénommé Boubou a sauté ma femme sous mes yeux, depuis que mon Elodie a oublié que nous étions mariés et s'est offerte à ce gigolo, je suis moins sûr de résister à la tentation de la chair. Par bonheur j'ai Violette, mais ici, la candeur de cette jeune journaliste commence à m'étonner. La couchette est étroite bien que la demoiselle ait la minceur de son âge, vingt deux ans dont quelques années de régime. Cette chair toute fraîche rend la situation plus scabreuse pour moi. Je suis moins persuadé de ma vertu qu'elle. Elle grelottait, elle se colle à moi, elle se sent beaucoup mieux contre moi. Elle n’a plus froid. Je m’échauffe. Pour plus de commodité j’ai passé un bras sous son cou, ma main malencontreusement s’est rabattue sur un mignon sein encore juvénile et un tétin hérissé. Marlène n'a pas protesté car l'espace est restreint; il faut faire contre mauvaise fortune beau visage. Protester ce soir contre des contacts involontaires pourrait, pense-t-elle vraisemblablement, mettre un terme à son expédition, à une expérience unique, selon elle. Elle attend beaucoup des jours à venir pour la qualité de son article Et puis ma main n’a pas vraiment pris toute la mesure du globe en ...
    ... question. Juste un frôlement accidentel. Elle me tourne le dos. L’arrondi moelleux de son postérieur s’est lové dans le creux de mon ventre. Ca chauffe . Elle cherche sa place, remue. Sa croupe réchauffée à mon contact bouge contre un petit qui se met à enfler indignement dans mon pantalon.. Aïe, si seulement je m’endormais vite. Elle bouge encore. Malgré l’étroitesse de l’endroit elle réussit un demi-tour, ses genoux cognent mes jambes, son bras gauche passe sur mon flanc droit. - Tu devrais passer ton bras droit au-dessus de mon bras gauche, on gagnerait de la place, dit-elle. En effet nous sommes mieux ainsi, un bras sous son cou, l’autre sur son côté, je l’enlace. Nos souffles se croisent. Contre ma poitrine pointent ses petits seins, son ventre colle au mien, ses jambes cherchent la chaleur des miennes, nous tricotons innocemment des gambettes. Surtout je dois rester correct. - Je suis bien comme ça, souffle-t-elle. Bonne nuit. Mais dans mon pantalon l’indigne se réveille vraiment, enfle de plus en plus. J’en suis gêné. Heureusement la jeube femme ne semble rien remarquer. Et il y a son souffle léger sur mon visage. Si encore je pouvais me retourner pour échapper à la honte de cette manifestation incongrue de mon excitation sexuelle involontaire. - Dis, Paul, tu dors ? Qu’est-ce que tu as dans ta poche? Un truc tout dur. Ca y est, elle a senti. Est-elle naïve ou perverse ? Que répondre, je me tais. Elle veut savoir, sa main va se renseigner, saisit ma chair douloureusement ...
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