1. Gwenn


    Datte: 06/04/2019, Catégories: fh, hplusag, extracon, fépilée, noculotte, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, ecriv_f,

    ... vêtements légers qu’elle ne portait jamais de soutien-gorge. D’ailleurs, d’une manière générale, elle ne portait jamais de sous-vêtements, qu’elle trouvait inutiles et encombrants. Sa poitrine était d’autant plus admirable qu’elle était mise en valeur par son ventre parfaitement plat. Inutile de dire, bien sûr, que sa peau était d’une douceur à rendre fou. Et quand on remonte la main sur la peau satinée de ses cuisses, quand on passe la main sur l’intérieur, là où la peau est la plus douce, on finit par arriver à l’objet de tant de désir: son sexe rose aux lèvres dodues. Ce sexe si jeune qu’elle aime à maintenir totalement rasé, sachant pertinemment que cela rend la plupart des hommes complètement fous. Ce sexe si jeune donc, dont on ne prenait la pleine mesure qu’après y avoir glissé un doigt tremblant, de peur de l’abîmer, et qu’on s’enhardissait à pénétrer de plus en plus profondément… Mais je m’emporte de nouveau… On pourrait louer également les vertus de ses fesses aussi rondes que splendides, et de l’étroit orifice qui va de paire avec elles. Mais plutôt que de me répandre plus longtemps sur ses attributs magnifiques (je sais, je me répète, mais elle est vraiment belle), je vais plutôt te raconter une histoire, qu’elle m’a racontée elle-même, qui en dit plus sur sa personnalité que toutes les descriptions. Son père recevait pour la semaine un ami, marié mais qui était venu seul. Gwenn le trouvait plutôt à son goût et elle avait résolu de l’amener dans son lit (ou ...
    ... n’importe quel autre endroit du moment qu’on puisse y faire l’amour). Elle s’en était ouverte à son père qui avait trouvé l’idée plutôt bonne et décidé de favoriser la chose. Cette complicité de son père peut te surprendre, mais l’on n’imagine pas jusqu’où cette complicité peut aller, de cela aussi, je te parlerais plus tard. Son père, donc, prit des dispositions. Il était médecin, et invoqua donc une visite tardive à un malade pour laisser Gwenn et Antony, son ami. En réalité, il rendit visite à un couple d’amis avec qui il passa une nuit au moins tout aussi agréable que celle que passa Gwenn. Depuis qu’Antony était arrivé, la jeune fille n’avait eu de cesse que de se promener avec des vêtements les plus légers possibles, lui laissant ostensiblement voir qu’elle ne portait rien en dessous. Antony lui-même n’était pas insensible au charme agressif de Gwenn, mais il se répétait sans cesse que celle-ci n’avait que dix-huit ans et qu’elle était la fille de son meilleur ami. Mais ce soir-là, Gwenn mit tout en oeuvre pour le faire tomber dans ses bras. Antony était au salon, à regarder la télévision, quand la jeune fille entra dans la pièce, deux verres à la main. «Je t’ai préparé un verre, la même chose que d’habitude », dit-elle l’air de s’excuser. Antony la regarda, étonné. Elle ne portait en tout et pour tout qu’un simple tee-shirt rouge qui lui arrivait juste sous les fesses. Lorsqu’elle s’approcha, il ne put s’empêcher de remarquer que de sa position assise, il pouvait voir son ...
«1234...»